Perdu dans les livres [ibre]

Comment en était elle arrivé là. Elle qui cherchait juste l'accueil se retrouvait maintenant dans cette immense bibliothèque.
Bon sa ne lui posait pas trop de problème vu qu'elle aimait les livres mais elle voulait aussi avoir une chambre. Se vaisseau était vraiment trop grand pour que même quelqu'un qui avait un bon sens de l'orriantation puisse se perdre. Sayu déhambula dans les rengé de livres espérant trouver quelqu'un qui pourrait la guiuder pendant que sa soeur, Sayumi,à chacun de ses pas désespérait. Faisant que l'amétyse qui batai de la façon d'un coeur d'habitude clignotait comme une guirlande éléctrique.
*Je veux un lit, un matelat... un. ..un bain parfumé. MAIS comment on na put se perdre aisi. Le plan disait qu'on était sur la bonne route. snif.
Sayu dépêche de retrouvr le chemin. Et interdiction de lire un livre*
Cette dernière phrase qui était la plus importante ne fut pas vraiment suivit.
Depuis qu'elle avait apris à lire, sayu passait le plus clair de son temps à lire et arriver dans une bibliohèque fut la tentation du diable dont elle ne résista pas. Le temps que sa soeur finisse son discourt Sayu aavait déjà trouvé une dizaine de livre qu'elle avait empillé par terre.
S'asseyant, dans une des rangés, et vu quil n'y avait personne, elle écarta ses jambes et prit le premier livre de sa pile et commença sa lecture.
Sayumi désespéra car si personne venait sa soeur pourrait très bien rester là des jours sans s'en rendre compte. Elle laissa donc sa soeur priant pour que quelqu'un vienne.

Sayu avait du lire une dizaine de livres, et continuait sur sa lancé faisant que de nouvel piles apparurent assez vite.
Un peu trop plongé dans son roman Sayu ne perçut l'arrivé de l'inconnue qu'au moment ou celle-ci lui parla.
D'abord surprise que quelqu'un vienne de se côté de la bibliothèque, elle leva la tête du livre et fixa cette femme.
Elle était imposante avec son attiraille, que sayu lui envia. Comparé à ses deux couteaux qu'elle portait sous ses vêtements, à porté de main.
Mais très vite elle changea d'avis, trop lourd. Elle ne pourrait plus courir aussi vite et cela l'essouflrerai.
Puis elle souvenait que cette femme lui avait parler mais avait dis quoi.
Penchant la tête sur le côté, signe qu'elle réfléchissait mais ne savait plus.
Se fut Sayumi qui lui rappella.
Elle s'excusait de l'avoir dérangé mais pourquoi.
Elle n'avait pas été dérangé jusquà se qu'on lui parle. Mais d'abord lui répondre. Se mettant à quatre patte, poussant un à un les livres qu'elle avait dison désordonné, elle trouva enfin son bloc note et son stylo.
Se relevant, elle écrivit finement:
" Vous ne m'aviez pas dérangés."
Montrant son mot elle voulut savoir qu'elle réaction aurait cette femme vu qu'elle ne parlait plus depuis bel luret.

Aspésia regarda faire la jeune fille en gardant le silence, assez intriguée. Elle la regarda se saisir d'un bloc, y écrire et le lui tendre. La commando haussa les sourcil et se saisit du calepin. Elle le parcourut et se demanda un instant pourquoi cette jeune fille voulait s'exprimer par voie écrite.
Écartant le papier, elle considéra Sayu un moment en comprenant qu'elle ne parlais sans doute pas.

Elle la trouva plutôt jolie et perdue au milieu de ses monticules de revues pensa que ça lui donnait une allure de collégienne assidue mais décalée.
C'est d'ailleurs en voyant les hautes piles qu'une question lui vient, et prenant une voix douce en s'accroupissant demanda:

"Excusez ma curiosité, mais combien cela fait-il de temps que vous êtes assise ici en train de lire ?"

Il était évident que cela ne la regardait pas, mais le tableau de cette jeune fille seule au milieu de de ces étagères, dans cette pénombre, inspirait une sensation étrange à Aspésia. Et étant d'une curiosité presque maladive, elle éprouva le besoin d'en savoir plus.

puis comme un cheveux sur la soupe, le comlink à sa ceinture retentit bruyamment, fendant le silence épais de la pièce de sonorité stridente. Sans même regarder qui cela pouvait bien être, elle le fit taire d'un geste et réajusta son fusil sur son épaule gauche.
En temps normal, elle aurait immédiatement répondu, mais ici et maintenant, cela eut été totalement déplacé. La chape de silence retomba aussitôt sur les deux jeunes femmes tandis qu'Aspésia adressait un sourire contrit à Sayu.

CEtte question déconcerta sayu car elle même ne le savait pas.
Bien sur il y avait des personnes qui aimaient lire mais sayu faisait un peu dans l'excet quand il s'agissait de romans. Depuis combien de temps avait-elle vu autre chose que ses rangés de livres et cette lumière tamisé rendent ce lieu spécial pour elle.
Le comlink de la ceinture retentit dans la pièce silencieuse cassant un peu l'atmosphère qui si dégageait. La femme ne répondit et fit un sourire presque forcé sayu qui fut mal à l'aise. Reprenant son calpin elle écrivit soigneusement:
"Je pense que j'ai commencé à lire hier après-midi mais je n'en suis pas sur. Pouvez-vous me dire quel jour nous sommes. Je perd la notion de temps ici."
Repassant son calpin SAyu se releva et prit une pile de livre qu'elle rangea avec soin un par un, au même endroit qu'elle les avaient pris.
Quand à Sayumi elle dormait jusqu'à se que l'inconnut parle à Sayu.
Elle pensa d'abord que c'était la bibliothéquaire qui disait à Saayu que la bibliothèque fermait mais non. Trop armé et ne ressemblais absolument pas à une bibliothéquaire. Quand même un peu contente que quelqu'un soit venu déconsentré sayu elle pensait qu'elles allaient enfin partir et prendre une chambre mais Sayu commença à ranger un par un chacun des livres qu'elle avait lu, se qui en faisait un paquet. Elle soupira découragé et parla :
* Sayu laisse moi lui parler, je veus une chambre ,un lit. Ne martirise pas plusta pauvre soeur, s'il te plait." Mais rien à faire Sayu trop consentré ne l'entendis pas. En colère Sayumi s'en vraiment s'en rendre compte augmenta la luminosité de la pierre améthyse faisant qu'elle pouvait être vu à des kilomètres.
D'abord surprise sayu fut mal à l'aise, comment sa soeur pouvait lui faire sa? Devenant rouge, Sayu essaya de cacher la luminosité dans ces mains mais rien à faire.

Répondant à sa question toujours par écris, Sayu tendit son calepin à Aspésia. La phrase y était plus longue et la commando eut ainsi tout loisir de décortiquer son écriture. La première chose qui lui sauta aux yeux fut le soin apporté aux traits. Cela tenait plus de la calligraphie que de la simple écriture. Toujours dans ce même ordre d'idée, elle s'étonna de la beauté de l'ensemble, avec des volutes travaillées et des têtes et pieds de lettres qui partaient en volutes gracieuses. Mais au delà de l'aspect esthétique, Aspésia s'interrogea sur le pourquoi d'une écriture aussi régulière, comme mécanique, alors que la jeune fille écrivait à la volée, le bloc posé dans la main.
Étrange se dit-elle. Et enfin elle prit le temps de comprendre le sens de la phrase et écarquilla de grands yeux, puis leva sont regard anthracite sur Sayu:

"Hier après-midi ?" dit-elle sur un ton éberluée, sa voix montant dans les aiguës. "Nous sommes Jeudi, mademoiselle, j'ose espérer que vous n'êtes pas là depuis plus de 24 heures."

Une sombre inquiétude monta en Aspésia quand à l'état de santé de Sayu. Elle devait être affamée et épuisée, elle se devait de faire quelque chose.
Elle réfléchit à comment faire au mieux pour cette personne, mais son attention se tourna vers Sayu qui ne trouvait rien de mieux que de s'affairer au rangements des multiples revues entassées sur le sol. Réfléchissant vite, Aspésia commença à aider la jeune fille à remettre les magazine en place.

En faisant cela, elle l'observa. La concentration dont faisait preuve Sayu était impressionnante. Décidément, cette demoiselle était fort étrange, aux yeux de la militaire. La suite fut à l'avenant. Aspésia se souvint de ses devoirs de politesse élémentaires d'un coup et s'apprêtait à lui tendre une main amicale et à se présenter lorsque la pierre précieuse qu'arborait Sayu autour du cou se mit à luire de plus en plus fort d'une façon qui n'avait rien de naturelle.
Pourtant, La jeune femme n'en fut pas effrayée, ce qui fit penser à Aspésia qu'elle devait sans doute savoir de quoi il s'agissait. L'aile des romans s'emplit d'une lueur irréelle et la propriétaire vira au cramoisie, visiblement au comble de la gêne, en serrant cette pierre.

La commanda, ébahie du spectacle, s'avança vers Sayu prudemment en ayant pris garde de diminuer la sensibilité de ses senseurs visuels pour ne pas être éblouie. Posant une main douce sur l'épaule, elle dit:

"Mademoiselle, êtes vous sur que tout va bien, que se passe t-il ?"

Que faire? Se serait trop long à expliquer et dire que quelqu'un ou plutôt une âme était enfermé dans sa pierre. Et bien sur pas n'importe quel âme, sa soeur jumelle. Même pour sayu c'était un peu gros à avaler et croyait souvent que se n'était qu'un dédoublement de personnalité. Mais entre les deux quelle option était la mieux.
Sayu arborait un visage paniqué essayant de trouver une idée pour s'expliquer.
Sayumi explosa et réussi à percer la défense de sa soeur.
En quelque seconde la pierre reprit le rythme d'un battement régulier d'un coeur. La luminosité disparue et Sayumi pris la place de sa soeur.
Ses yeux devinrent vert émeraudes et elle reprit une grande respiration.
Sayumi s'étira dans tout les sens, pour reprendre complètement le corps en main. Après quelque étirements de plus SAyumi tendis sa main vers Aspésia e se présenta à voix haut
"Enchanté, moi c'est Sayumi. Je suis la soeur jumelle de Sayu, étant morte je reste dans la pierre qui à un peu trop brillé, à cause de ma crise de colère. Je suis désolé, j'ai eu marre de rester dans ma pierre et je voulais me dégourdir les jambes. Mais elle était un peu trop concentrer je n'arrivais pas à lui parler alors j'ai forcé le passage. Pour ta question ma soeur est la depuis plus de 24 heures et elle n'a fait que lire. Et nous allons très bien, nous avons l'habitude."
SAyumi avait dis tout sa d'un trait s'en s'arrêter et repris en fin sa respiration toujours le sourire au lèvres.

[J'arrive enfin <3]

Cela fesait longtemps que Nao était entrée dans la bibliothèque, et qu'elle s'amusait a déambuler entre les étagères bondées de livres, mais a force de tourner en rond, elle finit par se perdre.

"...Je n'aurais jamais dû entrée dans cette pièce,...Ah!, je suis déjà passée par le rayon Atlas"Dit-elle tout haut.

Du coin de l'oeil, elle vit une étagère plus petite que les autres.

*Tien! Je croit avoir vu une échelle pas loin!*

Par précaution, elle prit les trois plus petit atlas qu'elle trouva, puis les déposa a chaque tournants, elle revint cinq minute plus tard, déposa l'échelle contre l'étagère, puis elle rangea les livres a leur places. En montant sur l'étagère, elle avait une belle vue d'enssemble.

WAOUH!! On dirait un labyrinthe!

Elle se mit a courir et a sauter d'étagère en étagères, vu son poid elles ne risquaient pas de tomber. Epuisée, elle s'assit, mais elle n'eut pas le temps de repprendre son souffle qu'une puissante lumière verte, illumina brusquement un rayon, Nao le rejoignit le plus vite possible. Elle se pencha vers le bas de l'étagère. Ce qu'elle vit la surprit, il y avait une fille qui avait un attirail militaire et en face il y avait une fille qui ressemblait de façon déconcertante a Sayu sauf que celle ci avait les yeux vert. Elle entendit juste la fin de sa phrase:
"...Mais elle était un peu trop concentrer je n'arrivais pas à lui parler alors j'ai forcé le passage. Pour ta question ma soeur est la depuis plus de 24 heures et elle n'a fait que lire. Et nous allons très bien, nous avons l'habitude."

Elle se pencha un peu plus, mais par mégarde posa sa main sur un livre pas très gros mais il tomba avec un bruit sec.
"POOF"

Nao recula brusquement.

Un livre énorme tomba entre la femme et SAyumi qui retira juste à temps sa main. Relevant la tête elle vit une fille qu'elle avait l'impression d'avoir déjà vu. Mais où.
Sa y est, c'était Nao Oona la fille dans le vaisseau de caisse. SAyumi ne put retenir une exclamation de stupeur quand elle mit enfin un nom sur se visage.

"HHAAAAAHHHHhhh. Nao Oona, la fille que ma soeur à rencontré."

Que faisait-elle ici? Et sur les étagères. ET pourquoi les attaquaient-elles avec des livres.
La surprise passé, SAyumi repris sa voix plus douce. et parla un peu plus calmement.
"Je suis la soeur jumelle de sayu, je m'appelle sayumi, et si tu déscendait nous te rattraperons...enfin, on essayera. ET ne lance plus de livre sur la tête des gens sa dois faire mal."
Contente d'elle, SAyumi sourit exactement comme Sayu. Bizarrement cela avait comme effet apaisant pour montrer qu'elle la conaissait et ne voulait pas l'envoyer dans l'espace.

Nao vit le visage de la soeur jumelle de Sayu, devenir calme, elle se dit que cela ne présageais rien de bon.

Ha,ah...Je le sens pas trop ce coup ci...

Sayumi fini par dire:

"Je suis la soeur jumelle de sayu, je m'appelle sayumi, et si tu déscendait nous te rattraperons...enfin, on essayera. ET ne lance plus de livre sur la tête des gens sa dois faire mal."
Mais en fait c'était un peu moins méchant que ce a quoi s'attendait Nao.
Elle descendit un peu grâce aux planches qui retenaient les livres, elles devaient bien pouvoir suppoorter un poid de plus, mais elle venait de se rappeller la phrase 'et si tu déscendait nous te rattraperons', elle s'arrèta pour regarder en-bas. Sayumi la regardait, on aurais put dire que Nao s'était transformée en proie et que les deux personnes qui l'attendait en bas était des prédateurs...Elle trouva un endroit où les livres étaient plus enfoncés, ce qui lui permit de s'asseoire.


Et si je descend pas ça fait quoi? Dit-elle le sourire aux lèvres.

Mais finalement, comme elle voulait s'amuser un peu, elle sauta...

Nao sauta.
SAyumi ne compris pas, elle venait de s'assoir sur une pile de livre et lui avait demander se qu'elle faisait si elle ne déscendait pas. Elle allait répondre mais n'en eu pas vraiment le temps, Nao sauta sans la moindre peur mais avec amusement.
SAyumi ne put retenir unr exclamation idiot sur le moment mais le dis:
"HHHHHaaaaaaaahhhhhhh, elle à sauté."
C'est vrai qu'elle avait dit qu'elle la rattraperait mais la elle n'éait pas vraiment bien placé et la panique qui se lisait surement sur son visage lui brouillait l'esprit.
Ele bougeait dans tout les sans essayant de bien se positionner pour pouvoir la ratrapper.
Nao arrivait de plus en plus prêt du sol quand SAyumi se rendit compte qu'ellle était mal placé et que nao allait se retrouver en pater pour chien.
Elle sauta, glissant sur le sol et rattrappa de justesse Nao mais ne réussi pas à frenner et se cogna contre une étagere qui fit tomber quelque livres sur la tête de SAyumi.
La crise nerf passer Sayumi ne put que rire.
Elle ria de bon coeur jusqu'à se qu'elle n'en puisse plus.

(Aspésia est d'apparence tout à fait humaine et ne comporte aucune partie de peau a l'allure métallique ^^)


Aspésia avait observé les évènement se dérouler devant elle avec un calme impassible, tout en restant cependant prête à intervenir au moindre réel dans. Mais pour l'heure, rien de vraiment terrible ne s'était passé et c'était tant mieux.

Ainsi donc, la demoiselle à la pierre luminescente se prénommée Sayu. Un nom simple, facil à retenir et à la sonorité agréable. Puis elle fit la connaissance de Sayumi, qui elle parlait et lui expliqua en quelque mots precis le pourquoi du comment.
Mais Aspésia n'eut pas le temps de se perdre en conjecture ni de poser plus de question. Une espèce de petit singe sautillant sur les étagères. le primate s'avérait en fin de compte être une frêle jeune fille au physique charmant et à l'air espiègle en diable.

La suite prouva qu'elle n'avait pas que l'air. Sayumi réussit rattraper in extremis la jeune inconsciente qui avait sauté du haut des étagères et les livres leur churent sur leur tête. Mais, occupée à tenir la rangée qui avait failli choir par dessus les deux demoiselles, Aspésia n'avait pas pu retenir les ouvrages. Elle réajuste le meuble l'air de rien et observa Sayumi et Nao à terre puis leur tendit les mains pour les aider à se relever.

(A désolé j'ai modifié ><...)

Lorsque Nao sauta elle vit Sayumi se mettre a courir dans tous les sens, lorsqu'elle comprit enfin qu'elle essayait de la rattrapée, Sayumi plongea sur le côté.

Attention... Dit Nao en tombant sur Sayumi.
Elles se cognèrent contre l'étagère, Nao ferma les yeux s'attendant a un choc, mais elle dut les réouvrir pour voir que la femme militaire retenait les étagère l'air de rien. Lorsqu'elle se souviens qu'elle avait déja entendu parler de femme très forte qui vivait sur la station.
*Elle doit en faire partie.*

Après quelques seconde, elle releva la tête et vit que la femme lui tendait une main, elle la prit et se leva, puis elle recula.

"Merci!"Dit t'elle a la militaire avec un petit sourire désolé.

Sayumi avait mal au crane mais était heureuse d'avoir pu rattraper nao.
Heureusement que la militaire empêcha l'étagère de leur tomber dessus sinon elle était bonne pour un nouveau séjour à l'infirmerie.
Nao se releva faisant qu'elle pouvait en faire de même.
S'étirant^pour faire passer les douleurs sur son corps, elle constata qu'elle n'avait aucune coupure.
Regardant la pagaille elle se demanda si elle aurait du laisser sa soeur, tout faire depuis le début, comme sa rien ne serait arriver. Sayumi voulu demander de l'aide à sa soeur mais sentant qu'elle était encore furax qu'elle est prit son corps s'en sa permission, elle se ravisa.
DE plus refaire un échange alors que sa soeur ne voulait pas ferait que le corps deviendrait une coquit vide. Bon il faudra qu'elle range la centaine de livres. Elle soupira.
Se souvenant qu'ele n'était pas toute seul Sayumi fit un sourire un peu forcé.
"Bon, il ne nous reste plus qu'a ranger. C'est étonnant que même avec tout le vacarne que l'on a fait personne ne la entendu!"
Cette bibliothèque surprenait au plus haut point Sayumi. Elle c'était déjà rendu compte qu'en sa soeur avait passé les rangés de romans que l'atmosphère y était différete mais se côté de la bibliothèque était comme séparé du reste.

***********************

Aspésia promena un regard circulaire pour constater l'étendue de la tâche du rangement. Partout sur 10 mètres à la ronde des ouvrages jonchés le sol. La méta poussa un long soupir avec une mine navré et reporta son attention sur les deux humaines.
Sayumi avait déjà commencé à mettre de l'ordre dans le capharnaüm en posant une question tout à fait bien sentie. A savoir comment il se faisait que personne ne soit venu voir ce qu'il se passait ici malgré le bruit.

"J'avoue n'avoir aucune idée de comment ca se fait. Je n'ai même pas vu de bibliothécaire dans cet elle. C'est étrange, en effet."

Puis observant Nao, elle vit une petite echarde sur sa main. Elle la lui prit sans demander permission, dans un geste repide et douc et lui enleva en pinçant l'aiguille de bois entre deux ongles en se présentant.

"Je me nom Aspésia Shaytan, mesdemoiselles, opérations spéciales, et oui, je suis une méta au cas où vous vous demandiez."

Une fois de plus elle avait tus son second nom de famille. Rien de bon n'y était rataché. puis elle lâcha Nao en lui adressant un magnifique sourire et se mit à ranger ^son tour, empilant les livres avant de les remettre en place.

Puisque Nao ne savait pas répondre à la question, elle regarda tous les livres qui jonchaient le sol, il y en avait vraiment beaucoups. Elle prit le premier livre qu'elle trouva et l'observa, il ressemblait aux nombreux livres de son ancien orphelinat, mais il semblait, plus...raffiné et neuf, mais peut être que comme apparrement peu de personne ne venait dans se rayon, il n'avait pas souvent été ouvert.

"J'avoue n'avoir aucune idée de comment ca se fait. Je n'ai même pas vu de bibliothécaire dans cet elle. C'est étrange, en effet." Dit la militaire.

Elle n'entendit même pas ce qu'elle dit, elle reposa son livre et regarda un peu partout, quant elle allait commencer a ranger les livres, la militaire s'approcha d'elle et lui prit la main puis retira une écharde, qu'elle n'avait pas encore sentie

"Je me nom Aspésia Shaytan, mesdemoiselles, opérations spéciales, et oui, je suis une méta au cas où vous vous demandiez." Dit Aspésia.

Puis Aspésia commenca a ranger les livres en lui fesant un magnifique sourire. Ce qui fit un peu rougir Nao, qui n'avait pas l'habitude.

"Merci, mais c'est quoi une méta machine?" Dit Nao, en regardant le livre que tenait Aspésia.

Transportant une lourde pile d'ouvrage sentant bon le cuir et le vieux papier dans chaque main, Aspésia répondit à Nao:

"Nous sommes des organismes robotiques, créé grâce à des nanomachines qui ont fusionné avec notre ADN humain. On nous classe dans une espèce différente puisque rien n'est d'origine en nous ou presque. Mais pour ma part, je me sens toujours humaine. Cependant, il y a autant de façon de prendre les choses qu'il y a de méta."

Elle posa une pile de livre et commença à remettre sur les étagères les ouvrages qu'elle tenait toujours. Elle tourna le visage vers Nao en continuant de poser les livres sans regarder, mais sans jamais en faire tomber ni hésiter et continua:

"Nous avons été fabriquées pour combattre les hommes plus efficacement. Chacune de nous était volontaire pour ça. Mais et vous, vous êtes nouvelle sur la station ?"

Il ne semblait pas avoir souvenir d'avoir croisé la frimousse mutine de Nao avant. Mais il y avait tellement de monde ici que ce n'était guère étonnant. La station n'avait de cesse d'accueillir de nous jeunes femmes, venu combattre ou se réfugier. Un havre de paix et une base arrière d'une importance stratégique fondamentale dans cette guerre. Les zones d'arrivées étaient toujours prise d'un brouhaha indescriptible entre les missions au départ, les vaisseaux de frète, les navette d'arrivée. Une vie grouillante de femmes, toutes survivante d'une manière ou d'une autre, toutes blessées intérieurement ou physiquement.
Cela rendait la station bariolée, gesticulante, animée. Il s'y passait toujours quelque chose.Mais pour l'heure, il fallait ranger ces pauvres livres.

Nao écouta attentivement ce que lui disait Aspésia, puis Aspésia la regarda en continuant de ranger les livres, Nao voulut essayer mais s'abstint car elle avait fait suffisament de bétises comme ca, alors elle rangea normalement. Comme elle n'arrivait pas a ranger un livre, elle en prit deux gros et monta dessus en prenant soin de ne pas les abimer.

"Nous avons été fabriquées pour combattre les hommes plus efficacement. Chacune de nous était volontaire pour ça. Mais et vous, vous êtes nouvelle sur la station ?" Dit Aspésia, prenant Nao au dépourvut.

Elle finit se qu'elle était en train de faire pour se retourner vers Aspésia, qui même si Nao était sur deux livres, la dépassait toujours.

*Il faut que je dise quelque chose...elle a quand même répondu a ma question...*

" Bah...En fait, oui je suis nouvelle, je suis arrivée hier par navette..."

*Enfin, ca ressemblait a une navette*

Elle n'attendit pas la réponse de Aspésia et sauta des livres puis courut a l'autre bout du rayon car elle venait de remarquer qu'il y avait un livre en dessous de l'étagère, qui avait du s'y glissé quand Sayumi et elle était tombée. Elle réussit a l'attraper, c'était un magnifique livre avec une couverture en cuir rouge. Comme il n'y avait pas de titre Nao l'ouvrit, mais il n'y avait rien marqué dedans, elle tourna les pages, toujours rien.

* Qu'est ce que c'est... un cahier a dessin, un journal...?*

SAyumi qui écoutait que d'une oreille rangeait un a un les livres ne rêvant que d'un lit et de sushi.
Sayu et elle en avait cotoyé quelque une sur le champs de bataille et surtout une qui lui avait sauvé la vie. Elle la arselait pour entendre sa voix, jusqu'au jour ou elle fut muté dans une autre base.
Sayumi fut surprise que Nao ne sache pas se qu'était une meta car elle croyait que toutes les femmes les connaissaient. Aspésia axcepta de lui expliquer se qu'elles étaient et changea de sujet.
Elle voulait savoir quandNao était-elle arrivé.
Nao lui répondis en retard surprise. Elle disait être arrivé par navette hier.
Sayumi sent souvenait assez bien vu que c'était sa soeur qui l'avait découverte caché derrière des caisses. Elles c'étaient retrouvé embarqué dans le déchargement et l'avait rencontré.
Mais pour le mot "navette" Sayumi se souvenait d'un vaisseau énorme débrallé mais de la à se qu'il ressemble à une navette.
Elle rit mais essaya vite de le caché en le faisant passer pour un toussotement. N'attendant pas la réponse d'Aspésia, Nao déambula entre les étagèrent et trouva sous l'une d'elle un livre poussièreux en cuire rouge.
Délaissant le rangement Sayumi se rapprocha de nao qui feuilletait se livre. Il était neuf, vide de toutes écriture et ressemblais à un livre jamais ouvert. il avait deux centimètre de poussières comme s'il avait été mis sur une étagère qui par la colision l'avait fait tomber et glissé sous une autre.
Il avait été placé dans la bibliothèque et en hauteur comme si quelqu'un voulait le cacher. Sequi laissa Sayumi perplexe.
"Il n'est pas à moi, mais je veut bien savoir où je pourrais m'en procurrer un. Ma soeur, je suis sur voudrais le même."

Alors que Nao était en train de feuilletée le livre vide, Sayumi s'approcha.

"Il n'est pas à moi, mais je veut bien savoir où je pourrais m'en procurrer un. Ma soeur, je suis sur voudrais le même."Dit Sayumi.

"Tient, de toute façon je sais pas bien écrire...Dit Nao en tendant le livre a Sayumi.

Puis Nao, se retourna et continua a ranger les livres, il y en avait de toutes sortes, des grands, des petits ou encore des bleus, des verts...

"On a bientot fini!"

Nao, s'assit et ouvrit un gros livre qu'elle posa par terre, il y avait plein de cartes, elle en regarda quelques unes, puis referma le livre, elle le prit et le rangea comme si de rien était.

"Eh vous, ca fait combien de temps que vous etes ici?"

Nao, regarda Aspésia, elle portait les livres comme s'ils étaient aussi léger que des plumes

Aspésia finissait de ranger des deux derniers tas de volumes reliés tout en haut des étagères, en sautant d'untrès légère impulsions des jambes qui l'emmenait a 1,50m cinquante du sol, et ainsi pour chaque livre. Elle avait observer Sayumi et Nao bavarder un instant grâce à ses senseurs arrières sans interrompre sa tâche. Elle préférait en finir vite avec les choses barbantes.
cependant, elle stoppa son jeu du kangourou sous acide pour répondre à Nao. Elle se tourna vers celle-ci l'air de rien et dans un sourire aimable dit:

"Je crois que ca fait environ deux mois. Mais je ne tiens pas de compte exacte su temps qui passe."

Puis elle sauta une dernière fois et replaça les deux derniers bouquins en soupirant, l'air satisfait.

"Voila une affaire réglée." déclama t-elle le sourire aux lèvres. Et elle s'accouda à une étagère en y lançant un regard méfiant et poursuivit en regardant Sayumi: "Dites moi mademoiselle, vous auriez peut être besoin de manger après 24 heures de lecture, non ?"

Sayumi fut surprise par la rapidité dont le rangement qui aurait du durer des jours se fit en quelque heures. Mais la question Aspésia lui posa la sortit de son rêve; d'un lit doullet qu'elle pourait bientot rejoindre.. Elle n'avait pas faim car c'était sa soeur qui était rester dans la bibliothèque plus de 24heures. Même si se corps ne pouvait changer de propriétaire, SAyumi reprenait le corp de sa soeur parfaitement, vu qu'elles étaient jumelles et avaient la même morphologie. mais comment expliquer que c'était sa soeur avec qui Aspésia parlait avait faim et non Sayumi qqui pencha la tête sur le côté. Une mimique qu'elle avait emprinté à sa soeur qui montrait qu'elle réfléchissait. Prenant une bouffé d'aire frait Sayumi se lança:
"Je n'ai pas vraiment faim,ses plutôt ma soeur. Pour faire simple j'empreinte son corps, quelle accepte de me préter. La drnière fois que j'ai utilisé son corps j'ai mangé donc quand je le repossaide la faim de ma soeur disparait en même temps qu'elle dans la piere. Je porrait donc tenir un moment sans manger. On utilisait cette technique au combat, sa nous permettait de reste lomgtemps en action."
Cette technique les avaient sorti de bien des ennuies par le passer et au moment ou elles retourneraient sur le terrain elles l'utiliseraient surement encore. Quand Sayu était trop faible pour continuer de combattre, SAyumi prennait sa place laissant Sayu dormir dans la pierre. Elle pouvaient donc rester deux jours d'affilé sans la moindre fatigue apparente, puis souvent le problème de ne pas manger les faisaient retourner à la base exténuer. Sayumi se souvenait que trops fatiguer elles restaient dormir des fois plus de 24 heures sur un lit sans bouger laissant a leur esprit et l seul corps qui se fatiguait pour deux renouveller ses forces. Sayumi ne put retenir un sourire qui fendit son visage en se souvenant de ses rares moments de tranquilités et de bonheur.

Les deux jeunes femmes qu'avait Aspésia devant les yeux semblait tout de mêmes bien étranges. Cela fit sourire la méta, qui trouvait de plus en plus cette station intéressante. Les gens qu'elle avait rencontré jusque là méritaient chacune le détour.
Mais Nao posa un question qui effaça son sourire. Elle avait perçut dans sa façon de poser la question qu'elle parlait pour elle-même. Une passagère clandestine à bord ? Un doute subsistait, cependant. Et puis, Sayu et Sayumi étaient elles au courant ?
Imperceptiblement, les traits de la méta se durcirent et elle posa un regard dur sur Nao. Puis elle se radoucit en réfléchissant que si celle-ci avait eu des intentions hostiles, elle ne se serait pas trahit d'une façon aussi maladroite. Et de toute façon, il subsistait un doute: Avait-elle vraiment parlé pour elle ? Il fallait qu'elle vérifie:

"Nao, es-tu monté à bord secrètement ? répond moi sincèrement" Et disant cela, elle enclencha son analyseur de spectre vocal afin d'avoir une chance de déterminer exactement si elle disait la vérité. Enfin, dans la mesure de l'exactitude de cette prothèse qu'elle savait avoir une certaine marge d'erreur.
Elle jeta un œil sur Sayumi pour observer sa réaction en entendant poser cette question. Les deux avaient l'air de se connaitre déjà et cela lui serait sans doute utile pour son analyse.
Mais, même si elle était arrivé à bord "par hasard" et sans mauvaises intentions, cela laissait entrevoir un gros problème de sécurité et la méta devrait faire un rapport détaillé afin que cela soit réparé au plus vite.

Nao se releva e se tourna vers Aspésia, qui la regardait, puis ses traits se durcirent. Nao regarda l'arme puis Aspésia. Puis Aspésia posa une question, a qui l'expression "les cheveux se dressent sur la tête" aurait pu convenir mais seulement les plus courts.

"Nao, es-tu monté à bord secrètement ? répond moi sincèrement" Dit Aspésia, mais son expression c'était adoucit. Pendant qu'elle regardait Sayumi, Nao recula de deux pas, juste au cas ou...

"...euh...en fait, quand je suis arrivée près du vaisseau, je ne savais pas comment il fallait faire pour entrer dans la station et pour y être acceptée...et...j'ai entendue quelqu'un dire que cette navette, emmènerait tout le monde sur la station et qu'on y serais accepté...Alors je suis montée dedans et voilà comment je suis arrivée ici, c'est Sayu qui m'a trouvée. Mais si je suis pas acceptée, renvoyée moi sur Terre mais ne me jetée pas dans l'espace!"

Nao pensa qu'elle n'avait plus rien sur Terre, mais bon s'y jamais elle referait sa vie, enfin elle essayerait. Mais pour l'instant Nao pensait a autre chose, la réaction d'Aspésia, si elle décidait de se débarrasser d'elle, Nao ne tiendrait pas longtemps, ou alors elle pourrait s'enfuir par le haut des étagères et prendre la première navette pour la Terre, non, on l'a rattraperait très vite...

*Je suis fichue* Pensa Nao, en ne pouvant s'empècher de rigoler. S'était toujours comme ca, a chaque fois qu'elle avait un gros problème, elle ne pouvait s'empècher de rire. Mais cette fois, elle pleurait en même temps, elle avait enfin réussit à parler avec quelq'un sans qu'il l'ignore, la frappe ou l'insulte...C'était peut être comme ca un amis...