[è la chambre d’Alexandra et Syntaxe]
La porte de la chambre s’était refermer. La jeune fille déambuler dans les long couloir de la station qui lui était encore totalement inconnu. C’était un lieu agréable. Les longues bée vitrée qui donnée sur l’espace infinis émerveillée Syn. On pouvait apercevoir sa terre des milliers de kilomètres plus bas… L’adolescente s’arrêta sur l’un de ses points de vue phénoménale. Elle était seule dans les couloirs mécanique. Le silence régner. C’était agréable… La balle bleu était recouvert de plusieurs épais nuage rougeâtre. Même de si haut on pouvait apercevoir le combat qui faisait rage en bas. Syn s’adossa à l’une de structure métallique, observant la planète. Ce combat n’était pas le sien. Elle n’en avait jamais éprouvée le besoin d’y participer. En fait c’était rien de plus qu’une querelle « débile » entre femmes et hommes. Bien qu’elle fut femme, elle ne prenait pas partie dans ce conflit planétaire. Il y avait déjà bien assez de problème pour que les être humain se déchire entre eux. En y réfléchissant bien, c’était dans la nature humaine, cette envie de conquêtes. En réalité à partir du moment même ou nous avions abandonnée notre état de nature pour fonder une société l’homme s’est pervertit. La guerre était une de ses perversion préférée. L’Homme aimer se battre pour un oui ou pour un non… Ses pensées étaient très dure envers les gens de la même espèce qu’elle. Mais, même si elle n’avait jamais assister aux horreur de la guerre, même si physiquement on ne l’avait jamais poussée dans ses dernier retranchement… Elle avait déjà vécu plusieurs expérience qui faisait d’elle ce qu’elle était devenu. Aucun d’eux n’avait laisser de marque sur son corps mais ils avaient déposée leur empreinte sur sa mémoire infaillible. Les seules vestiges de ses malaise anciens résidaient sur son bras gauches. Endroit où Syn aimait déposée ses barres de rappelle : plusieurs cicatrice finement taillée dans sa chair à l’aide de petite bout de verre. Rien qu d’imaginer qu’Alexandra puisse penser que Syn n’avait rien vécu, qu’elle avait grandit sur son petit nuage rose l’énervé au plus au point.
Il lui fallait trouvée un endroit ou les quatre mur ne retiendraient pas ses pensées volatiles. Un endroit ouvert où elle pourrait s’abandonner définitivement à son cerveau malsain.
C’est comme ça que, suivant ses pas aléatoires elle trouva l’entrée de la fausse foret. C’était impressionnant, la station réserver décidément bien des surprises. Toujours entourée de quatre mur, d’un sol et d’un plafond cette salle était néanmoins la parfaite reproduction d’un environnement forestier. Les arbres s’élevée vers le ciel bleu. La composition était à ravir. Sans plus attendre, la jeune fille s’engouffra dans l’épaisse ramassis d’arbre.
Le vent était présent lui aussi, il soulever très sensiblement sa cravate et sa jupette. Ses chaînes tintillaient sou l’effet de la brise légère. Elle marcha pendant plusieurs longue minutes, fatiguant ses jambes jusqu’à leurs derniers retranchement. Se videz l’esprit, faire le vide pour reconstruire. La journée avait était bien remplis. D’abord sa méprise de bus qui l’avait conduit à des lieux de son habitat puis la rencontre de la ravissante Alexandra qui se révéla comme une véritable peste, dangereuse. Syn ne voulait plus repenser à toute ses choses, et pourtant son esprit recevait les assaut incessant de son souvenir encore frais. Prise de sursaut de violence pure elle se servit des arbres comme défouloirs. Leur assenant les coup les plus brutaux et douloureux qu’elle le pouvait.
Pendant près d’une heures elle se vida l’esprit en tapant bêtement contre le tronc des arbres. Seul sa main gauche avait touchée véritablement l’écorce noueuse.
La journée fut longue et la fatigue s’emparée de son petit corps. Syn avait exprimée toute son envie destructrice. Elle s’était enfin calmée et n’espéré plus que rentrer se reposer.
Le retour fut bien plus long que l’allait, la nuit semblait doucement tombée sur la station, les sentiers paraissaient tous semblable et pourtant…
Enfin, la guitariste réussit à retrouvée la sortit de la cage verte. Cela faisait déjà bien plus de trois heures qu’elle s’était absenter. Son lit lui manquer, elle pressa le pas.
[La chambre D’alexandra et Syntaxe]
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