Jone passe par là ( libre)

Jone était dans le coltard. Elle faisait la grimace car elle sentait que bientôt, dès qu'elle auraiy retrouvé ses esprits elle allait crier!

" Quelle est la sale teigne qui a osé me faire dormir alors que ça me rend hystérique! Et qui a osé me toucher d'abord!!? Larves avariées! "

Mais elle dut rapidement se calmer, elle y voyait trouble. Une odeur singulière lui arriva jusqu'au nez. Un mélange de camélia et de tilleul, une odeur naturelle. Elle sentais aussi l'odeur d'un tissu qui avait été laissé par terre, ou sur un tapis en paille de riz qui sait? Pas de rose, pas de vanille, pas de musc, de girofle, non iren de toute ces odeurs désagréable. Bien qu'elle aimait les odeurs ambrée et boisée des fragrance d'hommes, celle ci était douce et en même temps très distincte. Elle leva une main instinctivement et senti une mèche de cheveux. Elle fut saisie d'effroy ne comprenant pas que quelqu'un la tenait auparavant.
Ouvrant de grand yeux elle vit une femme dans un Kimono des plus flamboyants, avec une ou deux doublures.

" Oulalala! alors toi tu tombe à pique! tu peux rester ici pour l'éternité si ça te chante!"

Se mit elle à fanfaronner. Mais enfin elle n'avait pas que ça à faire, flatter les belles inconnues. Quelle idée dégradante, même si on ne pouvait s'empêcher de donner son petit avis sur la créature.
En la regardant de plus près Jone sentis une femme au caractère dangereux d'ailleurs c'est ec qui la fit arrêtter de fanfaronner immédiatement. Elle décida de rester comem à son habitude : désagréable et serviable comme un elf de maison appartenant à la famille de Syrius Black.

Jone put considéré que la fille avec la boule de poil à dent n'était pas partie, et même qu'Angel était là. Eïkiko visiblement en train de s'amuser avec elle et son sabre.

"Ca va on vous dérange pas trop! c'est quoi ici ? uen reconstitution médiévale? NON! alors si vous avez envie de vous tranchez la gorge prenez un mecha et faite vous sauter la tête hors de la station! C'est quand même moi qui accueil les pleurnichard quand ils se sont fait bobo après!"

Elle grogna un peu en raclant tapageusement sa gorge en signe de colère suplémentaire. Eïkiko était encore là? A oui, c'est vrai elle était venue sans aucune raison, et c'était pareille pour Angel. Elle tordit sa bouche de manière dépité et pour signaler que la garderie allait fermer ses portes.

Elle se retourna vers l'inconnue.

"Mademoiselle, permettez vois de m'excuser. Je ne tenais pas à vous ignorer, mais afin de faire mon travail, si tant est que ce soit le mien je devais un peu insulter mes congénères ici présente pour me sentir mieux. Que puis-je pour vous? à moins que ce ne sois vous qui puissiez quelque chose pour moi..."

Lorsque la jeune femme se réveilla enfin, Annie s'aperçut que son regard ne la regardait pas nettement. Surement avait-elle la tête qui tourne et allait encore plus l'avoir.

* Non, mais elle se prend pour qui cette nana? Me tirer les cheveux de la sorte, ça va pas dans sa petite tête? *

Elle tappa la main de l'inconnue au sol et fronça les sourcils gravement. Elle détestait, répugnait et se refusait à tout contact physique avec les autres. Certes, il y avait quelque occasions qu'elle pouvait laisser passer, mais une comme cela... Elle la sauve et puis elle ne se présente même pas correctement. Elle pourrait au moins dire son prénom, quoique, elle s'en moquait bien. La regardant de plus en plus hostèrement, elle la força à s'asseoir. Elle pouvait bien insulter ses camarades comme elle voulait, de toute manière, 3 niaises du genre... Mais le fait qu'elle ait crié à moins de deux centimètres de ses précieuses oreilles impériales l'offusqua quelque peu. Toutefois, le fait qu'elle se soit excusée, elle venait de racheter un peu sa gouverne auprès de la Duchesse présente.

" Eh bien, si tu me le proposes de cette manière, tu vas vite lâcher ce que tu viens de repredre dans tes sales pattes. Deuxièment, te présenter ne serait pas de refus et pour finir, me dire où je peux trouver la gérante de la station pour me faire allouer une chambre. "

Puis, au drôle de regard de son interlocutrice, elle se mit à rire un petit peu. Quelle tête elle avait! Les cheveux dans le visage et cette odeur de chien sale la rendait absurde. Voyant qu'elle était capable de se tenir assit, elle la força à se lever pour s'asseoir sur la table de l'infirmerie. Cependant quelque chose bloquait l'arrière train de la belle au bois dormant. C'était le responsable de l'odeur terrible de la femme. Elle ne prit même pas deux secondes pour réfléchir et prit la sale créature du bout des doigts pour le renvoyer à sa maîtresse.

" On est pas dans un véto ici, priorité humaine, je vous prie! "

Elle prit Jone, qui maintenant ressemblait plus à une marionette qu'elle faisait bouger, pour l'asseoir sur la table et l'examiner quelque peu. On aurait dit une mère qui posait son enfant sur le contoire pour lui faire un sermont. Elle lui posa les 3 questions importantes pour savoir s'il elle ne faisait pas une commotion cérébrale, mais il en était rien.

" Bah, voilà, c'en est finit... T'a rien! J'ai une dernière à te demander, si tu pouvais bien m'aider à panser ma blessure s'il te plaît, se serait gentil!... "

Nathalie resta immobile pendant tout les soins que faisais Annie a Jone. Ne trouvant pas la raison pour laquelle elle aurait ne serais ce bouger le petit doigt, elle ne bougea pas, les laissant a leurs occupations.. Lorsque la femme prit le chien pour lui jeter, Nathalie lui lanca un regard tres tres noir et plein de haine. Si elle etait pas contente, elle pouvait tout aussi bien partir cette femme. En tout cas, ce chien ne partirait pas. D'ailleur, elle ne comprenait plus rien a rien. Elle etait simplement revenu pour se faire soigner et elle se retrouvait tout autour de gens qui se detestait et se faisait une espece de guerre des mots mutuelle. Elle soupir, prit son chien dans ses bras et le cacha. Elle prefera attendre sagement que les chose se tasse tout en se demandant si elle devait vraiment demander a la maintenant demi infirmere si elle pouvait a nouveau lui changer ses pansemant plein de sang. Soudains, elle sursota. Gueco etait sortit d sa cachette et grognait contre Annie. Il avait vraiment l'air tres tres en colere. Nathalie aussi d'ailleur. Elle lui aurait meme dit de l'attaquer avec joie mais bon... Preferait quand meme eviter pour le moment. Elle soupira de nouveau et attendit que la situation se calme et que les auras noir partent loin. decidement, les hosto ne sont plus ce qu'ils etaient.

Angel, pendant tout le long levait un sourcil puis soupira d'agacement :

° Je n'ai rien a faire avec elles ... °

Elle rangea paisiblement son sabre dans son fourreau, s'apretta a partir et regardat Nat et Eikiko en fronçant les sourcils ...

° Hum ... °

le regard d'Ang n'étais pas agréssif mais plutôt doux ...
Elle regardat une dernière fois Jone et haussat les épaul :

° tss' ... °

Reprenant ses esprit, elle se dirigeat vers la sortie ...
Prennant d'innombrables couloirs et, enfin, disparut ....

Jone regarda la scène un peu surprise. Elle ne comprenait pas ce qui avait mis Angel en colère, ni même si elle avait réellement du mépris pour les gens présents, car son air indolent portait à confusion. Tout d'un coup elle se rappella, ce coup dans la nuque.

"Eïkiko, c'est toi qui a provoqué Angel, la jeune fille qui viens de partir? Nathalie si tu veux balancer Eïkiko pour sauver ta peau c'est le moment!"
Avait-elle déclaré sur un ton enjoué

Evidemment en temps normal, Eïkiko n'aurait jamais provoqué qui que ce soit, mais Jone la soupçonnait puisqu'elle llui vouait une grande loyauté.

" Nathalie, je ne peux pas m'excuser pour le comportement des autre et je n'en ai même pas l'envie. Cependant je voudrais que ton indulgence prenne en considération que vous êtes en temps de guerre. Alors désolé si la qualité du service n'est pas de mise. Et je suis étonnée que toute les femmes n'aient pas le caractère de mademoiselle que je viens de soigner. La guerre ne laisse pas la place à la camaraderie généralement. Mais nous ne pouvons pas nous contenter d'être des automates. Il ne faut donc pas en vouloir aux femme sde cette station d'agir avec des sentiment décuplés. La haine que tu vois dans leurs yeux n'est pas provoquée que par-ce qui viens de se passer. Mais sont l'expression de leur ressentis avant d'arriver dans cet endroit. Comme tu le vois, la seule personne ici qui semble en accord avec elle même est Eïkiko. Malgrès ses problèmes quotidiens que nous avons tous, elle parle poliment. Comme elle te l'a précisé notre pays n'est pas en guerre. De plus elle est pratiquement la seule d'entre vous toute à ne pas être complétement seule et abandonnée. Tu dois donc savoir qu'Angel, la jeune fille au cheveux bleu, et toute les autres n'agissent pas comme elles auraient agis sans cette guerre et tout ce que cela leura fait perdre ou endurer. Je te dis cela pour ne pas que tu te sente rejeté ici , ou que tu pense que tu n'a pas ta place. Cependant sache que la plupart se moque complétement de ton avis. C'est pour ça que je précise que je dis cela uniquement pour que tu te sente à l'aise et non pas pour défendre mes amis et camarades. Voila aussi ce qui fait de moi une fausse infirmière plutôt bien dans son rôle."

Ajouta-t-elle avec un sourire complice. Oui malgrès ses allures taciturne Jone ne cachait pas faire preuve de psychologie quand les gens ne faisaient pas de cinéma. Pendant qu'elle parlait elle avait effectivement changé les bandages de Nathalie. Par contre sa tentive de mettre une tape amicale sur la tête du clébard n'avait pas voué franc succès, il avait encore essayé de la mordre.

" Ouais bon, ben j'espère que ton chien ne reflète pas ce que tu pense de moi!"

Dit elle d'un rire jaune. Même si au fond cela n'avait pas tellement d'importance, elle n'aimait pas se décarcasser pour rien.

Nathalie Vit Angel partir comme elle etait revenu. Cette femme etait vraiment etrange, elle arrive a l'inproviste, assome la demi infirmiere, commence a nous menacger avec son Katana et repart aussi apres. La jeune fille soupira et prefera ne pas faire de commentaire. Alors que Jone changait son bandage, la jeune fille écouta ses parole tranquillement. A la fin, elle se dit que finalement, ca ne la changait pas de d'habitude: etre seul. Lorsque la femme fini de changer ses pansements, il la remercia et lui sourit. Jone voulu donner un tape sur la tête de Gueco et ce dernier voulu la mordre. Nathalie se mit a rire.

- Non, non. C'est juste que là, il est tres enervé... Faut dire, on l'a traité de cabot, clebs et tout et tout donc... Mais bon... Je pense que la prochaine fois que il te croisera, il te fera une grosse lechouille. En tout cas, je te remerci de m'avoir soigner et m'excuse pour tout les problemes que j'ai pus te causer... J'espere que tu ne m'en voudra pas trop...

Elle lui sourit en lui prenant la main, maintenant propre, et en la secouant. Ensuite, elle la lacha et attrapa son chien pour le remettre dans son cou.

- Tu continuera a me changer mes pansements...? C'est plus drole quand c'est toi qui le fait...

Jone eut une exclamation amusée. Même Eïkiko pencha la tête sur le côté l'air de dire " tu es sure?".

"Pourquoi? ton chien comprend quand je parle?"

Dit-elle d'un ton mi- amusé mi provocateur. En même temps elle n'ignorait pas les dossiers médicaux des pentionnaires. Et bien qu'elle n'accordait pas de crédit aux information reçu elle avait toujours prété le doute à la conscience possible des animaux.

" En tout cas je m'excuse. Les gens disent que j'ai un caractère de chien. Mais ils insulte ces animaux. Je suis bien pire!"

Elle n'avait pas dit ça que pour rire, Eïkiko parut aquiescer, l'air un peu géné.

Bon c'était bien joli tout cela, il était temps pour Jone de rendre leur liberté à ses patients. Quoique? Elle regarda les bandages.

" Hum, dit moi, je en sais pas si tu m'a entendu le dire, mais les chambres ici sont gratuite pour nos résidentes. Tu peut prendre celle que tu veux d'autant que tu le signal sur le registre. Normal une femme est censé t'acceuillir. Mais pas mal de nos membres ont disparu, ou plutôt on surement été envoyé en mission et je ne l'ai pas su. Mais si tu veux tu peux rester dormir à l'infirmerie. Je ne sais pas ou sont passé les autres filles qui m'aident mais il y en a. Et enfin, parles en à qui tu veux, mais nous ne pouvons pas laisser la fille avec qui tu t'es battu errer au millieu des innocentes. Si il ya un problème dans la station et que tu n'a pas voulu nous prévenir, tu sera tenue comme complice de ses crimes. J'espère que tu en a conscience. Et ce n'est pas pour ma sécurité que je crains.

Pfuuu! je suis une vrai machine à parler moi ! j'adoreeeeee ça!! hahaha... hemm hem .. heu excusez moi ..héhé. Heureusement que je ne pense pas être la plus belle dans cette pièce, sinon pauvre de vous."

Jone secoua un peu la tête. Elle ne devait pas commencer à raconter n'importe quoi. Et garder son sang froid.

Voyant que les cruchottes derrière elle recommançaient à vivre, Annie poussa un grognement lorsque Jone lui mouilla l'oeil. Elle détestait se faire soigner par quelqu'un d'autre. Et puis, se qui l'enrageait encore plus c'est que son joli petit visage allait être bafoué pendant quelque jours. Toutefois, elle eût tôt fait d'arrêter de geindre intérieurement pour mieux écouter la voix de la demi parrure d'infirmière qu'elle avait à deux centimètres de son visage. Étant loin de rafoler de sa position, elle fit semblant de la pardonner pour continuer d'entendre la mélodie vocale de Jone. Elle se surprit elle-même d'être capable de tollérer une personne, un étrangère proche d'elle.

Par la suite, quelque chose vint briser ce chant. C'était la fille détenant le cure-dent qui fit aller son mange-patate. Elle prononça quelque mots bref, mais Annie n'y porta pas d'attention. À quoi bon s'intéresser à quelqu'un qui menace les autres avec aussi peu de classe. D'ailleurs, elle n'en aurait fait qu'une bouchée. Quoiqu'il ne fallait jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Angel sortit après un bon moment et alla se perdre dans les corridors. De l'autre côté, il y avait toujours la maîtresse du cabot puant qui semblait vouloir assassiner Annie. Elle la regarda un instant bien attentivement. Elle aussi devait avoir son passé, mais de toute manière, elle était comme les autres, faible. Mais le regard qu'elle lui balançait à l'instant même lui plaisait grandement. Peut-être n'était-elle pas aussi faible que cela après tout. Elle sera la main à l'infirmière et Jone en parru amusée. Décidément cette Jone paraissait un beau mystère à résoudre. Quoiqu'elle puait le clébart... C'était pas attirant... Et puis, on parlait bien de la même personne qui avait osé lui tirer sa belle chevelure soyeuse et soignée. Ah non, vraiment...

" Hé oh, fait donc un peu attention quand tu... ailleuh! Bordel, ça fait mal ça! Tu n'es vraiment pas qualifié... Ah... Dire que je me laisse faire... Mon si joli visage... "

Annie se leva aux mots de Jone et s'apprêtait à sortir. Sur le pas de la porte, elle revint sur ses pas et esquissa un petit sourire narquois. Elle réapprocha de son infirmière, en gardant bien ses distances. Elle la regarda dans le blanc des yeux pour la rendre encore plus mal-à-l'aise:

" La maîtresse canine ne mérite pas de l'entendre, mais pour toi je crois qu'il t'est nécessaire. Je m'appelle Annie, Annie Ramen, tâche de t'en rappeler si tu veux avoir la chance que je reporte mon attention sur ta petite personne. "

Elle repartie vers la sortie avec sa démarche habituelle. Un regard dur comme de l'acier inoxidable et un air plus qu'hautain, voilà se qu'était en réalité Annie. Oui, elle paraissait faible aux premiers abords, mais c'était un monstre intérieurement. Rare était ceux et celles qui pouvaient l'endurer. Elle n'avait même pas prit le temps de dire merci, comme si tput lui était due. Une saleté née quoi... « Hié, la narratrice, je te rappel que c'est moi qui gère ici! » Toi, tu es loin de gérer tes actes! Désolé, parfois il faut intervenir... Le caractère d'Annie étant très fort, il faut parfois la remettre en place... Enfin, la dernière pensée d'Annie, en quittant cette place, fut les paroles que Jone avait prononcé par rapport à la station. Décidément, elle semblait s'y connaître beaucoup. La prochaine fois qu'elle la croiserait, si cela lui chante bien entendu, elle la questionnerait.

* Elles sont un peu fêlées, mais bon, je dois vraiment rester ici le temps de réparer mon mécha. Direction l'accueil. *

Nathalie sourit au parole de Jone. C'est vrai que depuis qu'elle etait dans cette station, Gueco n'avait pas dit un mot. Mais là, elle sortit de sa couverture situé quelque par vers le cou de la jeune fille et se posa sur le lit. Preferant attendre que cette espece de ***** de fille a la blessure a l'oeil parte de la piece, elle se tut un moment. Nathalie regarda Jone et se dit qu'elle avait deja sa chambre avec celle qui avait bien failli la tuer. Elle soupira et dit:

- Oui, je suis au courant... On me la dit quand j'etais a la station... Mais de toutes façon, je pense que je vais rester ici un petit moment pour attendre que mes blessures soigne... Faut dire... Elle a pas fait dans la dentelle cette fille... Mais bon... Je garde le silence pour le moment le temps de lui parler. Et euh... Aussi... Je sais pas si tu le sais... J'en doute vu tout les nom dont on m'a appelé... Je m'appelle Nathalie... Nathalie Aoi... Et voici ma chienne...

Soudains, sans prevenir, un voix sortit de nul part. Mais si on rapprochait un petit peu son visage de la petite boule de poils posé juste a coté de sa maitresse, on pouvait constater que cette voix venait tout droit de la gueulle du chien.

Guéco! Je m'appelle Guéco! Je ne suis ni un canulus truc ou un machin bidule ou une bete a grosse dents éguisé, je suis une chienne. Et puis, si il y a une chose que je ne peux pas supporter, ce son bien ces gens qui se prenent pour des je ne sais quoi et qui me traite comme la pire des races. Et j'interdit quiconque de faire du mal a ma maitresse parce que sinon... Moi aussi j'en prend plein la figure. Quand a cette fille là... Celle qui nous a fait souffrir... Je lui ferait la peau!

Nathalie soupira. Gueco avait comme une idiote dit tout ce que la jeune fille s'efforcait de cacher. Cette derniere regarda autour d'elle visiblement mal a l'aise. Elle dit d'un petit voix:

- Oui... Elle peux comprendre ainsi que... Repondre... De toutes façon... Je vous avez dit que cette race etait tres rare et...

Elle se tut. Preferant ne pas agraver la situation.

Une jeune femme vint chuchoter à l'oreille de Jone qui fronçat les sourcils;

"Mesdames ou surement mesdemoiselle, je dois vous quitter disgracieusement, on m'annonce que j'ai quelque chose à faire au sas. Nathalie nosu reprendrons cette discussion plus tard, mais pour ton chien qu'il parle ets le cadet de mes soucis, par contre cette énemie en question doit être retrouvée, je pense que si tu la protège il ya une bonne raison et que nous pourrons agir en conséquence si nous la trouvons; Nous ne sommes pas des tortionnaires.
Et une dernière chose... Il se pourrait que moi même je protège la personne dont tu parles. Alors Gueco pour l'information, on ne tuera personne, nous ne sommes pas dans la jungle, au pire elle sera enfermée en prison...
Et maintenant je vous laisse je suis préssée.."

Jone se dirigea vers le sas d'un pas un peu pressé et partagé entre agacement et angoisse en vue de ce qu'elle allait dire une fois arrivé. Elle sentait qu'elle n'allait pas être polie et avait un peu peur d'etre trop agressive vu ce qu'on venait de lui dire.