sombrer dans la folie

C'était par un bel après-midi, une nouvelle se promenait dans la station. Non, pas si nouvelle que cela. C'était bel et bien Ana, mais quelque chose semblait différent. La jeune femme de 5 pieds 8 1/2 était rendu une petite gamine de 5 pieds 1 1/2. Elle gambadait dans les environs l'air un peu perdu. En fait, elle semblait à la recherche de quelqu'un. Mais bon, l'air était si bon dehors qu'elle avait voulu arrêter au parc pour se balancer et jouer dans le sable quelque peu. Faire des châteaux c'étaient amusants, mais à la longue, ça lui donnait l'impression de toujours répéter les mêmes gestes. Elle regarda vers le ciel en posant sa petite main devant ses grands yeux.

* Monsieur soleil, il me semble que vous brillez bien fort cet après-midi. *

Puis soudainement, la pelle avec laquelle elle s'amusait à détruire ses constructions de sables s'envola dans un grosse bourrasque de vent. Ana se précipita à la poursuite de son instrument fétiche du jour. En cherchant son jouet, cela la mena vers le fond du parc. Il faisait là un peu plus sombre que d'habitude et Ana fut prise d'une petite frousse.

* Si maman savait que j'étais ici, elle ne serait pas contente... *

Malgré tout, elle décida de s'aventurer encore plus loin. C'est proche d'un étange arbre qu'elle trouva sa petite pelle rose. Mais au même moment qu'elle allait ramasser son trésor, un pied l'écrasa. La petite sursauta et s'aperçut d'une ombre parterre qui n'était pas la sienne. Elle leva la tête lentement et se retrouva face à face avec une autre femme. Cette femme lui rappelait quelqu'un, mais elle ne savait pas trop qui. En tirant sur les vêtements de l'être qui lui parraissait quelque peu effrayant, elle lui demanda innocement:

" Madame, pourriez-vous retirer votre pied de ma pelle rose s'il-vous-plaît? Il me semble que je vous connais, on s'est déjà vu quelque part? "

À la fin de la question d'Ana, la femme retira son énorme pied (parce que, pour la petite Ana, ce pied était énorme... Elle ne s'est pas vue quand elle était grande...) Ce qui était étrange c'est la dame n'avait pas répondu à ses mots et qu'elle semblait vouloir s'éloigner. Toutefois, en se retirant, la femme ne s'aperçut en aucun point qu'Ana la suivait de très près. D'ailleurs ce point intriga fortement la petite.

* Comment peut-on ne pas se rendre compte e la présence de quelqu'un quand on la suit d'aussi près? *

Elle leva les yeux vers le ciel pied d'un air interrogateur se dit en elle-même:

* Vous le savez peut-être, vous, monsieur le soleil? Hié, il vous êtes où justement mister sunshine? *

Oui, Ana était encore ou devrais-je dire, de retour à l'âge, où nous voudrions tout savoir sur le monde qui nous entours. Des pourquoi"s", des où"s", des comment"s" et des combien"s", il en sortait beaucoup de la bouche d'une si jeune lolita.

Soudainement, la demie-inconnue sembla vouloir prononcer des mots lourds, mais elle stoppa nette au millieu de la phrase. Se qui rassura en premier lieu Ana c'est que cette femme savait qu'elle était suivit et de deux qu'elle se soit arrêter avant de dire des choses... des choses que les enfants ne devraient pas entendre... Le petite fille observa mieux la circonstance. Une adulte qui se châmaille avec elle-même, c'était marrant. Elle avait déjà vu ça auparavant dans des émissions télévisés. Mais lorsque ce petit mot qui est bien grand dans un sens passa dans l'oreille d'Ana, elle commença à avoir vraiment peur. Ses yeux reflétaient du désespoir et de la tristesse. De la tristesse, tien, pourquoi ressentait-elle de la tristesse? Elle passa outre se sentiment lorsque la névrosée devant elle fit une chute. L'enfant accourue près du corps allongé au sol. Elle se jeta parterre aussi et aussitôt se mit à agir d'une manière bien professionnel. Elle prit le poul de Mina, ouvrit ses paupières pour l'examiner avec sa lampe de poche et aussi la prit sur son dos.

" Tien bon, je sais pas se qui t'arrive, mais quelque chose me dit en moi que ça ne va pas. Je vais te parler tout au long que je vais te traîner au du parc. Je ne sais pas d'où je sais ça, mais il parraît que lorsque les gens sont inconscients, il faut continuer de leur parler... "

Puis c'est se qu'elle fit. Elle prit le corps de l'inconsciente sur son dos et malgré son petit corps, déploya toutes ses forces pour l'amener en un lieu où elle pourrait mieux l'examiner ou du moins, lui apporter un peu d'aide. Il devait bien y avoir une infirmerie ici.

" Il doit bien y avoir une infirmerie dans les parages... Bon, ouf... Toi, t'a du mangé des gâteaux durant le temps des fêtes, non? (blague à part...) Enfin, je vais y arriver ! "

Elle partie en cambrant d'un côté et de l'autre sur le chemin menant hors du parc...

[Je crée le topic à l'infirmerie]