La Bouchère à l'accueil [Libre]

Aspèsia sifflotait en marchand dans le couloir, portant son barda sur le dos, son arme en bandoulière sur le coté et son sabre dépassant de son sac à dos, toujours à portée de main -on ne sait jamais.

Elle regardait la vie grouiller dans cette coursive avec une pensée émue qui lui mettait du baume au cœur. Cela lui faisait du bien de voir toutes ces jeunes femmes souvent de races différentes, aller et venir.

Pour sa part, elle avait enfin trouvé une minute pour faire une demande de chambre. Il était temps tout de même. Ce n'est pas que les canapés de la salle de détente n'étaient pas confortables, mais bon, pour être une chienne de guerre, elle n'en appréciait pas moins le confort.
Elle pointa donc sa frimousse dans le hall d'accueil pour réclamer un chambre.

Dit comme ça, on pense que le hall se résume à quelques guichés alignés, mais il n'en est rien. Elle découvrit une vaste salle d'une centaine de mètres de côté surplombée d'un dôme vitrée ouvert sur l'espace et par lequel on pouvait admirer un splendide clair de Terre. Une cohue de cheveux et de silhouettes gracieuses dans laquelle chacune jouait des coudes pour parler à une membre du personnel de l'intendance.
Sur le coup, Aspèsia cessa de siffler et fonça un peu les sourcil. C'était pas gagné pour obtenir sa chambre ! Elle tordit un instant la bouche sur le coté puis se lança dans la mêlée en soupirant. De toute façon, que pouvait-elle faire d'autre ?

Après une heure d'attente et de promiscuité avec les corps de femelles à à l'aspect tout aussi divers que bariolé qui n'avait pas manqué de faire frémir et sourire d'aise la commando, elle parvint enfin à un guichet ou elle s'accouda avant de parler d'une voie un peu forte afin de couvrir le tumulte de la foule et d'être entendue.:

"Bonjour, je voudrais une chambre s'il vous plait!"

Sur quoi elle sortit une pièce d'identité et les formulaires de transfert et les présenta à la personne devant elle.

Keiiko avait réussie à perdre sa clé... Ses colocataires (surtout une) n'avait pas manqué de se moquer d'elle.
N'ayant pas de clé de secours ont la pria d'aller en redemander une à l'acceuil.

Elle s'y rendit donc le pas trainant. Une fois sur place elle grimaca, la derniere fois qu'elle était venue l'endroit était presque désert. De plus le contact avec les humains la mettait mal à l'aise, surtout quand il y en a beaucoup. Elle avanca donc en direction des guichets la mines déconfite.

Quand elle parvint au guichet tant espéré, une fille qui semblé y avoir lassé son sac fit un brusque demi-tour et dans sa présipitation heurta la méta-machine de plein fouet. Celle-ci je bougea pas d'un millimètre alors que la malheureuse fut projetée par terre. Keiiko avanca son bras pour l'ider à se relever mais dans la bousculade le bandage recouvrant son bras avait glissé découvrant un membre bionique. La fille lui lnca un regard apeuré et pris ses jambes à son cou.

La méta-machine se tourna a nouveau en direction du guichet le visage impassible.

"Est-il possible de faire une nouvelle clé pour la chambre 22?"

Elle avait oublié deux choses! Le salue et le sourire. Soupirant de désolement elle regarda avec détachement autour d'elle et croisa le regard d'une femme au guichet d'à côté. Une régle de politesse c'est de sourire quand on croise le regard de quelqu'un? Ou un truc dans le genre.
Ne sachant pas exactement elle sourit à l'inconnue.

La réceptionniste reclama son attention en l'interpellant.

"Keiiko... Avec Clo et Yuuki. Je crois."

Elle avait répondu d'un trait à la question de la réceptionniste et commenca à remplir un formulaire de duplicata toujours avec une mine déconfite.
La femme à côté d'elle semblait vraiment à l'aise... Enième soupir de la part de la méta-machine, une fille venait de faire tomber sa valise sur le pied de Keiiko. Bien qu'elle n'eu pas la moindre douleur elle grimaca. Y a des jours comme ca ou il faudra mieux rester coucher.

L'employée en face d'elle semblait totalement blasée par son travail et poussa un long soupir à la requête d' Aspésia. Celle-ci haussa un sourcil fasse a cette attitude et commença à serrer le rebord métallique du comptoir lorsque la guichetière se retourna sans lui adresser un seul mot, pas même un bonjour.
Lorsque, en se disant qu'il ne servait à rien de s'énerver, elle retira sa main du rebord, la forme de ses doigts était imprimée profondément dans le métal.

Machinalement elle regarda à sa gauche la jeune fille qui semblait avoir été éjecter par une autre sans que cette dernière n'ait bougé un cil. Il était clair qu'il s'agissait d'une meta machine et elle croisa son regard. Celle-ci lui fit un sourire, mais il y avait quelque chose de pas naturel dans son rictus bien que son regard parut vouloir bien faire.
Aspésia inclina la tête sur le coté et lui adressa un clin d'œil souriant en faisant tourner le réticule de son œil le faisant passer du noir au vert, comme pour signaler son appartenance à la même famille que Keiiko.

Presque aussitôt une maladroite fit tomber sa valise sur le pied de la meta machine qui grimaça l'air désabusé.
Voyant que la guichetière semblait se perdre dans ses papiers, Aspésia prit le temps de s'avancer pour aider la jeune humaine à la valise. Puis elle porta son attention sur sa consœur et lui tendis une main en se présentant, arborant un visage doux et avenant:

"Bonjour, Aspésia Shaytan, ravie de rencontrer une autre meta machine "

Devant un comportement si agréable Keiiko resta tout d'abord sans voix. Clignant plusieurs fois des yeux elle cherchait enfait à analyser son interlocutrise. Puis se recesissant finallement elle repondit au sourire de la dite Aspésia.

Elle se trouva un peu ridicule, elle n'avait même pas fait attention au fait que la femme était une méta-machine. Un long silence -si on oublie le tumulte autour d'elles- s'installa. C'était la premiere fois qu'elle parlais avec une méta-machine. Elle en avait déjà vues, en sortant du laboratoire sur terre. Mais celles-la n'avaient pas supportées l'opération et rappelé plutôt des légumes.
Son visage abordant une impassibilité presque effrayante vue sa situation ne bougea que quand elle réalisa ne pas avoir répondue.

"Bonjour, moi c'est Keiiko."

Ses yeux n'arrivaient pas à se détacher de cette femme. Elle était si... Décontractée, sympathique... Alors que tout le monde était unanime pour dire que Keiiko était froide et distante. La méta-machine n'arrivait pas à saisir une si grande différence.

La femme derriere son guichet toussa avant de tapotter l'épaule de Kei afin de lui remettre les clés. Elle les attrapa avec détachement et se focalisa à nouveau sur Aspésia.

"Euh... Tu es nouvelle?"

Tout à coup elle eu un doute... N'aurait-elle pas mieux fait de la vouvoyer? Bah, de toute manière le mal était fait.

Aspèsia sourit en voyant que Keiiko ne saisissait pas la main qu'elle lui avait tendu. Loin d'être vexée, elle supposa que sa consœur avait du être altéré psychologiquement par la transformation en méta machine.
Elle se pencha et lui saisi la main pour la serrer doucement dans ce geste rituel de salut entre êtres humains. Tandis que Keiiko se présentait, elle arborait ce masque totalement neutre qui aurait été neutre si elle n'en avait pas connu l'origine.

Son interlocutrice semblait très intéressait et Aspésia aussi. Cette rencontre pouvait être une chance de partager sa condition mécanique. Une sacrée veine, oui, car on ne peut pas dire que les méta courent les rues.

Elle jeta un coup d'œil en arrière discret.Derrière le guichet auquel Aspésia poireautait le moment d'avant, l'employée semblait toujours aussi absorbée par la recherche de on ne sait quel formulaire. Mais à ce niveau, la commando n'en n'avait plus cure. Elle préférait de loin faire une intéressante rencontre et dormir sur un canapé que laisser aller la personne pour bénéficier d'un lit.

"Oui, enfin...non, je suis arrivée il y a un mois sur la station, mais les missions se sont succédées à un tel rythme que j'ai même pas eu le temps de prendre encore une chambre. C'est pour cela que je suis ici"

Après une hésitation et un regard circulaire sur la cohue autour en plissant les yeux, elle reprit en posant son regard sur le visage de Keiiko:

"Mais je pense que cela va encore attendre un peu, j'aimerais bien parler avec vous plus au calme. Et l'endroit ne s'y prête guère. Vous ne voudriez pas aller ailleurs ?"

Bien que que la jeune femme cyborg en face d'elle avait employé le tutoiement, elle resta sur son vouvoiement. Non pas par snobisme, mais pour ne pas créer d'équivoque malencontreuse. Elle aurait bien le temps de la tutoyer plus tard.

La femme lui serra la main... Elle n'avait pas remarqué cette main pointé dans sa direction, secouant avec se qui pourrait paraiter un manque d'entrain mais qui était enfait une simpla habitude prise pour ne pas arracher la main d'une humaine normale.

Elle avait fini de détailler l'autre méta-machine, a ce qu'il lui semblait celle-ci était plus élaborée qu'elle. Ce qui n'était pas très étonnement vue l'importance minime du laboratoire qu'elle avait rejoind. En revanche elle n'aurait su dire si ce qu'elle pensait était effectivement vrai.

Elle repondit d'un simpla hochement de tête à son interlocutrice avant de suivre son regard sur la foule. Elle fronca le nez, non décidément elle n'aimait pas vraiment la promiscuité avec trop de monde.

Quand Aspésia reprit la parole Keiiko comprit qu'elle avait effectivement gaffé, la femme la vouvoyait, alors qu'elle était nettement plus agée que Kei. L'envie la prit de se frapper le visage mais elle parvint à conserver un minimun de tenue.

Il était bien connue que l'étrange regard de la méta-machine une fois rendu glacial terrorisé qui que ce soit.
Voulant à tout prit se racheter elle jeta son plus horrible regard, le genre de regard qui avait fait que tout le monde la haissait sur terre, à la guichière que s'occupait du formulaire d'Aspésia. Qui sait? Peut-être se dépecherait-elle.
Ces manières pour le moins primaires étaient les seules choses vraiment connues de Keiiko.

"Vous ne voulez pas recuperer votre chambre avant?"

Elle avait réussie à caser son vouvouement! Un visage sembla alors reprendre vie et elle offrit à Aspésia un sourire franc, à la fois géné et inquiet. Un genre de sourire d'enfant.

La douceur que Keiiko avit mise dans sa poignée de mains surprit un peu Aspésia. Mais elle supposa qu'elle avait cette habitude vis à vis des humaine organique qui sont en comparaison si fragile. Cette attention montrer une un charmant aspect de la part de la jeune méta.

Il est vrai que son abord quelque peu maladroit et son faciès dénué d'émotions donnaient une impression de détachement, pour ne pas dire de la froiseur ou de l'austérité. Mais ce qui se passa ensuite prouva bien qu'il n'en était rien. Aspésia la vit lancer un regard noir, menaçant, à la guichetière. Sans doute pour lui faire activer la cadence. Cela montrait une seconde fois que cette personne devait vraiment avoir des trésors de gentillesse à offrir, mais personne de suffisamment clairvoyant pour passer outre son apparence.
Malheureusement, cette tentative resta lettre morte, ca l'employée, la tête pongée dans un classeur, ne vit même pas la tête de Keiiko.
Cela déçut Aspésia à un certain niveau, car elle aurait sans doute bien rit de la face décomposée de l'employée devant cette menace tout ce qu'il y a de plus tangible et concrète.

Elle remarque dans la phrase suivante de Keiiko un retour au vouvoiement. C'était à parier qu'elle faisait cela en pensant qu' Aspésia se sentait froissée. Son sourire plut à la commando qui voulu aussitôt la rassurer. Elle lui posa une main amicale sur l'épaule et s'approcha légèrement pour parler,comme pour signifier une complicité:

"euh...vous pouvez me totoyer si vous voulez, cela ne me dérange. Je vouvoie par habitude, mais je peux vous tutoyer si vous n'y voyez pas d'inconvénient. Et pour ce qui est de la chambre je vous assurer que c'est pas un problème. Je préfère largement parler avec vous."

Autour d'elles, le brouhaha de la foule commençait à devenir exaspérant.
Alors elle regarda à nouveau Keiiko et la prit par le bras en disant:

"S'il vous plait, allons ailleurs, la foule m'insupporte, j'ai l'impression d'être dans une basse cours."

Mais elle ne l'entraina nul part, elle ne voulait surtout pas brusquer la jeune fille. Il y avait tant de question qu'elle voulait luis poser...

Une pointe de déception marqua le visage de Keiiko lorsqu'elle vit que la femme derriere son guichet n'avait que faire de ses "grimaces". Néanmoins elle se resaisit vite et reporta lentement son attention sur la méta-machine.

Elle decouvrait un nouveau sentiment, jmais auparant elle n'avait était aussi impassiente et à la fois joyeuse. C'était la premiere fois que Keiiko était euphorique. C'était surtout la premiere fois qu'elle avait une discussion avec une autre méta-machine, quelqu'un qui plus est qui semblait vouloir la connaitre, qui s'interressait à sa misérable existence. Oui tout cela rendait la méta-machine euphorique. Mais bien évidemment ce masque d'impassibilité ne laissait rien passait. Ce fut pour le moins désolent.

Elle sourit légerement, tant bien que mal et hocha la tête signe que le tutoiement lui convenait mieux. Et réalisa seulement après qu'un vrai réponse aurait était miex perçue.

Son masque tomba une nouvelle fois quand sa consoeur lui demanda de bien vouloir l'accompagna loin de la foule que l'inssuportait. Un grand soulagement se dessina sur son visage.

"Bien entendu................... Et... Je suis pour le tutoiement... Si ca ne dérange vraiment pas."

'J'ai du mal avec les formalitées' l'aurai rendu un peu plus humaine mais Rome ne s'est pas fait en un jour comme on dit.

La main sur son bras avait quelque chose de rassurant, car c'était la premiere fois que quelqu'un pouvait eventuellement être plus fort qu'elle. Cette persective la faisait se sentir moin seule. Le sourire d'enfant bètement heureuse réaparru sur son visage.

"Ou veux tu aller?"

La tentative de sourire de Keiiko avait quelque chose de cocasse et pour tout dire de plutôt drôle. Mais bien sur, Aspésia n'en laissa rien paraitre. Elle se doutait bien que cela avait du demander un véritable effort à son interlocutrice et aurait plutôt désiré la remercier.

Mais il n'était plus temps de penser à cela. Keiiko n'avait pas retiré sa main ce qui signifiait qu'elle se satisfaisait de ce contact. Maintenant, où aller ?
Bonne question, vu qu'elle ne connaissait guère la station. Elle se tourna donc vers la méta-machine et lui demanda d'une voix joviale:

"Où tu veux, Keiiko, mais un endroit sans trop de monde. Connaitrais-tu un endroit où deux cyborg se sentiraient dans leur élément ? Mise à part la salle des machines, bien entendu, ça manque un peu de style, je trouve."

Sur quoi elle pouffa légèrement de rire, bien qu'une partie de son esprit se demande si ce trait d'humour n'était pas un peu déplacé. Mais c'était si agréable. Cela faisait bien longtemps que la lieutenante n'avait pas eu envie de rire...

(navrée, j'arrive pas a faire plus long ce soir)

(moi je trouve ça plus que convenable (: )


Keiiko ne pouvait pas s'empécher de regarder la seconde méta-machine du coin de l'oeil. Elle n'aurait sut dire exactement pourquoi mais cette femme la faciner.
Ne sachant pas si elle devait retirer sa main ou pas elle fit mine de la laisser glisser son y pretter attention, le long du bras de Aspésia.

La méta-machine aurait aimé repondre sur un ton ausssi jovial que celui employé par son interlocutrice mais sentait bien que dans sa bouche cela sonnerait comme faux. Dépitée Kei esquissa un faible sourire et refléchie à un lieu. Un lieu lui tenait particulièrement à coeur mais ce n'était pas pour ainsi dire, un lieu approprié à deux demi-cyborg.

"Et bien... Je ne connait pas encore la station dans son ensemble mais des lieu que j'ai vu celui qui m'a laissé le meilleur souvenir c'est la plage. Evidemment se n'était pas fantastique pour "nous" alors je sais pas..."

Un formidable éclat de gaité traversa les yeux glacials de Keiiko. Oui décidemment elle aimait vraiment la plage. Elle se demandait ce que pourrait penser une méta-machine visablement plus extravertie, d'un lieu pareil.

Elle avait d"éjà commencé à l'éloingner de la foule pour gagner le couloir de droite, quel que soit le choix de Aspésia il faudrais de toute façon passer par là.

"La plage ? Tu es sérieuse ? Il y a vraiment une plage à bord ?"

Aspésia avait de grands yeux éberlués, mais Keiiko était non seulement très sérieuse mais en plus des plus enthousiaste.
D'ailleurs, cette jovialité soudaine à l'idée d'aller sur la plage se manifestait d'une façon que la commando trouva touchante. ce visage si impassible qui s'illuminait à cette idée avait quelque chose de touchant.

En entendant parler de plage, elle songea un instant à la dernière fois qu'elle en avait vu une. Cela remontait à bien des années maintenant. Une plage solitaire baignée d'un brouillard duveteux matinal et battue par le vents vivifiant du Danemark. Elle était encore humaine et en permission pour 3 semaines. La plupart des gens aurait trouvé ce décor déprimant, mais cette mer démontée et la blancheur laiteuse de l'atmosphère lui avait procuré une paix et un bien être qu'elle n'avait jamais trouvé ailleurs.

Aussi, c'est avec grande joie qu'elle trottina vers Keiiko pour la rejoindre.
Une fois a ses côtés et lui poussa légèrement l'épaule de la sienne en signe de complicité.

"C'est une excellente idée Keiiko ! Allons y de ce pas"

Et la reprenant par le bras lui fit forcer un peu l'allure le long du couloir.
Puis arrivée a un embranchement, et regarda Keiiko:

"Euh...et maintenant, c'est par où ?" En réajustant son arme dans son dos.

Une lueur qui magnifistait son contentement continuait de briller au coin de son oeil quand Aspésia demanda si il est avait vraiment une plage à bord. Lueur qui disparut quandune femme grande et austère la bouscula pour pouvoir passer. Certes la femme eu l'impression de se cogner à un mur mais cette sensation avait un côté désagréable.

Elle répondit à son interlocutrice par un bref hochement de tête. Elle lui fit également un timide sourire quand Aspésia la toucha pour ensuite lui signaler son contentement.
Tout à fait ravie la méta-machine pencha la tête de côté avec un air légerement moqueur devant l'ignorance de sa compagne, enfin, gentillement moqueur, et passa avec un certain entrain devant la demoiselle Shaytan.

Elles firent seulement une dizaine de mètre avant que kei ne se stop et un un air inquiet sur le visage ne se tourne vers Aspésia.

"Je suis sur que je vais encore me perdre. Je me perd à chaque fois."

Ce perdre ne la gener pas mais la elle s'en voudrais de perdre aussi Aspésia. Aussi pour une fois elle fit un effort et activa l'ensemble de ses nanomachines intégrées au cerveau. Evidemment comme ca c'était beaucoup plus simple. Mais dns un sens elle trouvait cela dommage, et se trouvait de moins en moins humaine. Un triste soupir s'échappa de ses lèvres, on aurait put croir que le mauvais sens de l'orientation de Keiiko en était la raison mais à se moment elle reprit son chemin, tentant vainement de réendromir ses nanomachines.

(Je te laisse faire le sujet à la plage?)

(ok, je continu donc à la plage sur ce topic: https://planet-yuri.1fr1.net/la-plage-f14/le-metal-et-l-eau-suite-aspesia-keiiko-t840.htm#12388 )