bizarre ?? encore et toujours !!

" Salle de détente !! "

La salle de détente ou la salle de bains ,pour clo il ni avait pas eu photo c'était salle de détente, de toute façon elle n'aurait pas pu prendre un bain dans son état actuelle sous peine de couler .elle se dirigea donc vers le couloir menant à ce fameux endroit tout en tanguant et trébuchant ,puis dans sa périlleuse marche elle remarqua que Keiiko qui c'était calé à coté d'elle avait des bandes aux bras ,elle ne comprenais pas...pourquoi mettre des bandes sur ses bras ?

"pourquoi mettre sa ? "

Tout en fixant les fameux bandages qui l'intriguait tant Clo releva la tête dévoillant son visage interrogateur à Keiiko ,puis S'approchant de la porte de la salle de détente elle changea radicalement d'expression et de comportement ,elle ouvrit la porte dans un élan de rapidité puis manqua de chuter à cause de son déséquilibre avant de de se jeté littéralement sur le canapé se situant un peut plus loin .
C'est membre se faisant plus lourd à chaque minute qui passait ,elle avait dû trouver une solution pour évitait de s'écrouler et puis se mal de tête qui persisté ... Quoi qu'il en soit elle ne laissa rien paraitre de tous sa affichant son habituelle sourire montrant qu'elle se foutait totalement d'avoir mal ou non .

Keiiko suivait Clo de son pas méchanique tout en froncant les sourcils, le comportement de la jeune femme la laissait perplexe mais comme cette derniere ne fit aucunes remarques elle jugea que rien ne se passait.
Devant la question consernant les bandages la méta-machique haussa un sourcil, en effet ce geste était quelque peu dérisoire et l'attitude de Clo ne permit aucunes des réponses que Keiiko c'était habitué à donner, aussi répondit-elle peunaude

"Euh, je... C'est jolie?"

En tout cas plus que des bras bioniques! Voila le fond de la pensée de la jeune méta-machine, et puis la vrai réponse c'tait quelle avait tellement l'habitude de mettre ses bandages que maintenant elle n'y prennait plus gare, un peu comme une deuxième peau.
Ne sachant que faire Keiiko envisagea de sauter à son tour sur un canapé, pour avoir l'air aussi humaine que Clo... Mais elle analisa vite la situation, si elle faisait cela le canapé n'en réchapperait pas, sa force le détruirait sur place. Cette pense à son plus grand étonnement fit sourire la éta-machine et elle s'approcha doucement du canapé ciblé.

"jolie...?"

Clo s'arréta de bouger quelques instant ,seul un sourire s'afficha sur son visage ,un sourire qui n'en finissait plus de grandir Et qui pour finir ce transforma en éclata de rire .Ce n'était pas que la réponse de Keiiko était absurde ou incohérente c'était son visage, cette expression embarrassée un peu enfantine quelle affichait ,une expression que prenait souvent les enfants qui ce trouvé dans une situation compliqué .Elle continua donc de rire pendant quelque secondes devant se visage ,puis se reprenant quelque peu elle ajouta :

"je suis plutot contente ,un résistant m'avait dit un jour " les méta-machines sont des ètres dénué de sentiment et d'expression" et c'est tout à fait faux !!!"

Et souriant toujours elle eut une pensé étrange...le contexte dans lequel cette phrase lui avait été dite et surtout la fin de cette phrase qu'elle avait préféré ne pas dire devant Keiiko

*...*

...C'est vrai dans une autres situations elle et Keiiko aurait pu se retrouver ennemie ,elle la regarda alors avec un sourire au coin un temps soit peu mélancolique et lacha un gros soupir ,c'était rare qu'elle ce rapelle d'autant de chose d'en un labse de temps aussi court ,Cette journée était vraiment étrange.

Le rire de Clo perturba Keiiko au plus au point, haussa les sourcils elle la regarda d'un air totalement perdue. Avait-elle dit une bêtises? Cette possibilité lui paraissait relattivement possible. C'est vrai qu'un bandage n'a rien de "jolie". Elle soupira devant son ignorance et jeta un regard presque apeuré à la fille éclattant toujours de rire en face d'elle. Elle, une machine à tuer, apeuré par une scène de la vie courante. Cette situation l'amusait tout comptes fait.
Elle cessa complétement de se sentir mal aux paroles de Clo. Ses paroles, c'estait peut-être une des plus belles choses qu'on aurait pu lui dire. Ne connaissant néanmoins pas ce genre de sentiments la méta-machine afiicha un sourire toujours assez enfantin. C'est dans des moment comme que l'ont se rendait compte de l'âge réel de Keiiko. Une jeune fille, qui se trouvait dans un milieu qui n'aurait jaais dû exister. Une enfant qui tuer de sang froid.

Bizarrement ce moment de planitude retomba vite devant l'expression de Clo. Penchant la tête sur le côté pour intercepter la regard de la jeune femme -un geste tout à fait puéril- elle lui lanca un air de parfaite incomprehension et se risqua à demander.

"Ca va?"

C'est a ce moment qu'elle remarqua qu'elle ne parlait vraiment pas beaucoup. Un nouveau coup pour sa sociabilité naissante.