Anectotes de l'enfance, que de souvenirs XD

Alors ma petite personne vous propose de raconter des anectotes de quand on était petites, ça serait marrant ^^

Alors je commence : Quand j'était gamine, autour de cinq ou six ans, j'avais participé à un coucours de déguisements. J'avais été 8ème et j'avais passé dans le journal. Le type qui faisait l'article s'était trompé dans mon nom et, à la place de mettre Thaïs, il avait mis... Thoïs ! Et moi, j'avais pleuré toutes les larmes de mon corps parce qu'il s'était trompé de nom !

Alors ? Et vous ?

(Il voulait pas avoir à changer les draps le lendemain, quoique la moquette...)

Sinon moi j'ai été renvoyé de mon poste de sous-délégué (suppléant c'est moins expressif du statut) en 4e pour divulgation des notes et commentaires du conseil de classe.

Les conseils suivants j'ai pris un malin plaisir à dire sa note à qui le voilait vu que ma mère était déléguée des parents d'élèves et immaginez ma jubilation lorsque les gens appellaient chez moi pour avoir leurs remarques !

La prochaine fois je vous raconterais le duel entre ma tête et un mur... (Les paris sont ouverts, la cote du mur est de 8 contre 1.)

Je me souvient que c'étais quelque part entre 8 et 10ans. Je vivais dans un trous dans un bled dans un racoins de fond de campagne. (oui ont a de vaste espace vide au québec) Moi et une copine ont décide d'allé jouer dans le bois (idée ridicule) quand soudains elle vois un tamia. (évidement elle est partie a près et moi après elle) 15 à 20 minute plus tard ont réalise soudains qu'ont sais plus du tout où ont est.

Après 1 heures à la regarder pleurer en paniquant je fini par voir un truc familier (comme ont étais sur la terre a bois du chum de ma mère il y avais des arbre marqué) sur un arbre. Après 5 minutes [5 min où je la tenais par la mains (lol)] à marché tout droit je me retrouve...

juste derrière la maison

La poisse et en plus sa ressemble à un manga j'en revien pas. Ma vie est vraiment zarb parfois.

des anecdotes de l'enfance???

pas pour moi ce sujet,mes souvenirs de mon enfance ayant quasiment tous était "zapper" par mon inconscient...je me rapelle pas grand chose avant mes 14-15 ans

une autre tien: Lorsque je vivais au bout d'un rang d'un bled dans un racoins de fond de campagne (j'ai vécus longtemps en campagne profonde) j'allais à la garderie en milieux famillial après l'école. Mais comme l'autobus ne passais pas vraiment dans la rue de la garderie (si ont peut appeller sa une rue [elle a toujours pas été asphalté]) elle me dépossais (avec ma soeur) au dépaneur du village. Comme c'étais pas ce qu'il y a de plus proche je passais par un petit racourcie. [autrement dit je passais par la cours des voisins et sautais par dessus le petit ruisseau... vous voyer le tableau] Mais un jour j'ai fait une découverte asse hétéroclyte (je suis content que ma soeurette fût malade ce jours là) car j'ai vus le fils de la gardienne BAISER dans les fouré avec la dévergondé surnom très affectueux qui lui fût donné par les "vieux du secondaire".

Légèrement tromatisant pour un gamin.

apres avoir longuement reflechi(et surtout demandé a ma mère) je me suis souvenue d'une petite anecdote

j'avais 7 ans c'etait le dernier jour avant les vacances.j'etait seper contente du coup j'ai couru comme j'ai pu pour retrouver mes amis pour une derniere journée..du coup je suis tomber.....j'ai fini au urgence...le nez casser...et un bras completement au sang...j'ai eu un beau pansement au bras durant 3 semaine et je pouvais rien faire tellement j'avais mal....j'adore les vacances

L'histoire murale attendra un peu.
Je vais vous raconter la fois où j'ai éssayé de voler avec une trotinette.
Dans le village paumé où j'habitais il fut un temps (je devais avoir 10 ans), il y avait une descente assez raide qui était très plaisante en vélo...
Lorsque pour une occasion X (je ne sais plus pourquoi), un ami était venu chez moi. Nous décidâmes de nous promener dans le village à la recherche d'une occupation (lui avec mon vélo, moi sur un engin inventé par un ésprit malsain).
Après avoir tourné dans la partie supérieure (celle où j'habitais), nous prîmes la décision de nous rendre chez les habitants du village d'en bas en passant par la susnommée pente.
Le fait est que cette route descendante (ou montante, mais il faut être fou ou motorisé pour la monter) n'est pas bien entretenue.
Pendant la première moitié de la descente, j'arrivais bon an mal an à maintenir mon contrôle sur mon moyen de locomotion.
C'est alors qu'un nid de poule vint se mettre en travers de ma route et je ne réussit pas à l'éviter en raison des tremblements de mon appareil.
Ce qui devait arriver se produisit : ma roue avant sombra dans cet orifice et, grâce à un magnifique mouvement catapultaire de mon véhicule, je pris mon envol.
Cet envol fut bref mais intense, à l'instar de mon contact retrouvé avec le sol.
J'avais eu la bonne idée de tomber (et de glisser) sur mon épaule gauche.
Au final, j'ai eu le bras en sang et un T-Shirt ruiné ainsi qu'une haine viscèrale pour les engins à petites roues.

La prochaine sera celle de la rencontre entre ma tête et un mur.

Vous l'attendiez depuis si longtemps et la voilà !

Pink Flamingo : The Wall

Notre histoire débute en plein milieu du mois d'Aout de l'an 2002 (je suis pas sûr de l'année...) dans une petite ville de la côte d'Azur : Cavalaire sur mer...
Notre héros, ayant été laissé par ces grands-parents chez des amis de ces derniers afin de pouvoir aller au casino, jouait tranquillement à un jeu ridicule dont les outils principaux sont un objet pouvant tourner sur lui-même et une immagination débordante.
Lorsque le sinistre objet pointa notre héros, il put voir un sourire démoniaque se déssiner sur le visage des deux jeunes filles qui participaient au susdécrit jeu.
Elles avaient planifier de lui soustraire une mèche de cheveux au moyen d'une paire de ciseaux.
Prennant son courage à deux mains et ses jambes à son cou, notre héros jaillit hors de la chambre des jeunes démones comme s'il était pourchassé par la mort en personne.
Malheuresement, le sol étant composé de carreaux glissants, et ses chaussette étant en coton, il chuta lourdement et sa tête heurta le mur sur sa gauche avant que son dos entre en collision avec la comode qui gisait non loin.

Après avoir été transporté d'urgence à la clinique la plus proche, l'ouverture béante dans la peu de son crâne fut refermée avec dexterité par un médecin réveillé pour l'occasion (il devait être dans les 3h du matin).

Ma superbe chevelure n'a pas été atteinte dans sa dignité grâce au professionalisme légendaire des médecins du Sud...
Je me demande encore aujourd'hui pourquoi les succubes n'ont pas profité de mon état second pour abuser de moi et attenter à mes cheveux... Probablement le sang a fait office de répulsif.


Si vous voulez la version reliée avec des images, voyez avec mon service commercial et si vous en formulez le souhait, j'accepterais volontiers de dédicacer votre exemplaire.

Toi ont peut pas dire que tu fait dans la dentelle... Pour l'occasions une autre de mes innombrable humiliation. Cette fois la victime est ma pauvre petite soeur.

Dans le trous du bled de racoins de fond de campagne moi et ma soeur avions, pendant les vacance d'été, pour occupation d'exploré le dommaine. Nous vivions au fond d'une des innombrable carrière de sable fin du village qui n'étais plus en activité. Et un jous ont décide d'allé voir ce qu'il y a en haut de la grande cascade, nom donné à une partie de terrains où étais extrait un sable très fin qui avais tendance à couler comme de l'eau. Comme il étais impossible d'escaladé la grande cascade ont décide de faire le tour, sa nous a prit quelque heure... M'enfin, ont arrive au sommet et ont observe la vue magnifique sur le dommaine.


Puis soudains un bruits pas trop agréable...

La cascade décide de s'éfrité ous mes pied un peut trop avanturier et dans un ultime espoire, futile, je m'acroche a ma soeur... ou plutot à sa jupe qui bien evidement à décidé de partire avec moi vers le bas.

Je n'est pas revus ma soeur en jupe de l'été et moi je me suis tenue loins des chutes de sable, en fait je m'en tien toujours assé loins.

Euuuuuh...

Jme souviens avoir pleuré pendant une bonne demi-heure pcq ma grand-tante avait coupé mon éclair en chocolat en deux alors que je le voulais entier (j'avais 6 ans, je pense :-p) Lorsque ma famille a désespérement tenté de me faire réaliser que 'jaurais les deux bouts quand même ça a empiré
"mais tu perds rien, tu aura les deux bouts"
"naaaaan jveeeeeuuuuux paaaaaaaaaaaas ! j'en veux un entieeeeer !"
(c'est horrible, hein, les gosses ?!)

j'en ai encore honte xD

Tien puisque le sujet d'halloween est ouvert... Je sais plus quand c'était, mais je me rapelle de ce qui c'est passé. Ont m'avais contraint, par la force, à me déguiser et à "escorté" mes cousine (messemble ouais, j'étais le babysitteur de service c'est tout). Ma tante m'as fait un très jolie maquillage de pirate, mais vas savoir pourquoi j'avais le visage qui me démangeais toute la soiré. Le lendemain ont découvrais que j'étais gravement allergique à ce genre de maquillage. Oui ma face étais toute rouge et pleine de boutons...... Je vous parle pas de ce que sa à donné à l'école ce matin là.....

Ah tiens Halloween...

C'était il y a environ 3 ou 4 ans, j'étais chez mes cousines parisiennes au cours de la période pendant laquelle se déroule ce soir funeste.
Ben qu'elles habitent dans un petit village périurbain (oui j'ai appris un nouveau mot :p), j'ai du les accompagner lors de leur quête de friandises en tous genres.
La plus jeune des deux était déguisée en sorcière (original non?) et avait un balais. J'avais déjà mon habitude caustique à cette époque et je lui affubla le ridicule adjectif de "vieille avec un balais". (Note : Elle ressemblait vraiment à une vieille avec un balais !)
Ayant pris la mouche, elle décida de me faire ravaler mes paroles à grand coups de balais. Bien entendu, je n'avais rien à craindre d'une gamine de 6 ans, mais je me pris au jeu de la poursuite.
Après avoir pris une longueur d'avance, je fis une pause pour me reposer.
C'est à ce moment-là que deux charmantes jeunes filles que j'avait rencontrées dans la journée. Je me redresse donc pour les saluer. (Elles étaient encore plus jolies dans leur déguisements qu'avant dans la journée si je me fie à ma mémoire.)
Pour mon grand malheur, ma cousine choisit cet instant pour utiliser son arme de destruction massive et contre toute attente, j'encaissa un HS balais. (HS = Head Shot) Suite à cet assaut brutal, je chuta lourdement au pieds de ces deux magnifiques (zut je me souvient plus, bah on va improviser...) créatures de la nuit (j'ai quand même réussit à faire assez vague pour ne pas avoir à mentir sur le costume... Fort non? Comment ça non?).
Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon ce coup de balais m'aurait été fatal.

Mon sens de l'honneur, m'a empêché de massacrer la peste qui m'a infligé cette humiliation. Et en plus je n'aime pas avoir mon propre sang sur les mains.

Mdr bon j'ai bien rigoler en vous lisant ! xD
Alors moi j'ai jamais eu une vie palpitante et j'ai toujours vécu recluse jusqu'à l'age de 15 ans mais bon il m'arrive quand même des trucs pas cool :p

C'était en quatrième je crois a mon ptit collège pourri ^^
Comme j'en avais marre de faire le chemin tout les jours a pied ( 15 minutes de marche mais bon si on peux être plus féniante possible on l'est :p )
Donc pour me faire plaisir ma mère m'acheta un vélo ! (même si je ne savais pas en faire -_- ... Mais bon j'apprends vite heureusement)
Donc le beau vélo acheté en occaz' et donc on voyait qu'il avait bien vécu (j'estimais sa date de création aux alentour de la deuxième guerre mondiale :p) avait pus rouler hum... Un mois ou deux ...
Mais le problème c'est que je ne fais jamais attention a son état même si je ne faisait aucune folies avec
Et j'en fus punis bien évidemment !
Un jour en sortant de mon collège je prend mon vélo ... Avance juste devant la route et commence a l'enfourcher (pour l'instant tout vas bien ..)
Un petit coup sur la pédale et puis deux ... Et puis pouf ... La roue avant de mon vélo continue sa route seule ...
A ce moment la comme vous êtes tous au courant de la loi de la gravité démontré par not' on vieux Einstein vous vous demandez surement ... Le vélo il tombe pas ? mais si ...
La partie avant du dit engin meurtrier commença a flancher dangereusement avec moi toujours cramponnée fortement au guidon (des fois on a des réactions con mais bon ... ) Et la par la magie du cinémas hollywoodien bam je me retrouve non pas la tête écraser par terre mais tout a fait rétablie les pied touchant bien la terre et les mains toujours cramponnées sur les guidon ... Bon je suis capable de miracle mais comment je me sort de cette position ... Je vous rappel ... La tête en arrière Les mains sur le guidon ... Je jette bien sûr un regard désespéré vers mes camarades pendant que je me débat pour me relever ... Mais bon faut pas trop compter sur les gens ... Et donc n'arrivant pas a me relever je me laisse évidemment tomber ... Et je finis la jambe ensanglantée ... et par un heureux hasard c'est Ce moment ou ces abrutis décident de bouger les c** heu ... leurs fesse :p
Donc voila ce jour la j'ai décider de me mettre a la gym (ben ouai j'avais fait un truc trop cool ! même si je savais pas comment ... ) Mais bon j'attends toujours le miracle .. :p