Si j'avais su...

La navette quittez l’atmosphère terrestre pour pénétrée dans le vide encombrant de l’univers. Plusieurs jeune filles discutaient de ça et là, calme et tranquille attendant patiemment d’arriver à leur Eldorado. Syntaxe elle, avait la tête coller à la fenêtre. Ses yeux exorbitée fixée la Planète terre s’éloignée petit à petit. Elle posa brusquement ses deux main contre la vitre, aplatissant encore plus son visage contre la paroi de verre. Elle ne voulait pas en croire ses yeux :

"Ma …. Ma… ma terre… Que…"

C’était par une total absence d’attention qu’elle s’était retrouvée assise sur les banc si confortable du vaisseau. Ce n’était qu’un bus qui lui servirait de dortoir le temps que la pluie ne cesse. Du moins c’est-ce qu’elle pensait lorsque elle mis les pied dans cette endroit chaleureux. En y réfléchissant bien la surveillance avait était un peu plus accru que d’habitude. Son cerveau entrée en fusion. Les milliers de possibilité pour revenir sur Terre se bousculer dans sa petite tête.

*Détournée la navette… Sa ne devrais pas être trop dur, c’est une bande d’incompétente…. Ou peut être faire exploser un des réacteurs… Non trop risquer, ça risquerait d’abîmer ma guitare…. Je vais prendre quelque un en otage oui ! Ça c’est une excellente idée !…. Non non et non… tu divagues là !*

Toujours immobile, le regard de truite posée sur la baballe bleu qui s’éloignée doucement de Syn. Des larmes coulaient le long des ses belles joues roses. Ses pleures étaient mêlée d’un rire cru et exagérée.
La pression accumulée durant le décollage, et la crise de cette nouvelle expérience retombait lourdement sur ses épaules. Elle réalisée enfin tous ce qu’impliquée ce changement d’atmosphère.

*Mais pourquoi ?! Pourquoi ça m’arrive toujours à moi !*

Le bruit incessant des jacassements futiles de son entourage la ramena à la raison. Il était vrai que sa vie risquer de changer sensiblement. Vrai qu’a partir de maintenant elle aura une réel raison de ne plus aller voir sa mère. Et au moins la police ne pourrais pas la revoir ici. Alors que quelques perles coulait encore le long de ses joues, un sourire illumina son visage. La mécanique de son cerveau avait encore doubler de vitesse. En un fraction de seconde elle estima tous les bon cotée de sa présence ici.
Se retournant pour mieux observer les personnes à bord, elle avait les yeux rond et un sourire montant jusqu’au oreille. Certaine personne de la salle semblaient presque effrayés par l’air sadiquement satisfait qu’affichait Syntaxe. Et après tout juste 1 minutes et 33 seconde, la jeune fille émit un rire bruyant et machiavélique :

"Muwhahahahahaha ! Je suis diabolique !!!"

Le compartiment s’était arrêter, tous la fixait. Étonnée, apeurée, riant leur réaction était divers et variée mais tous était un peu stressée de se retrouver auprès de Syn. Celle-ci avait rabaissait sa casquette, s’offrant une petite sieste avant d’arriver… à … Elle se redressa d’un coup en hurlant :

Où va-t-on ???!!!!

La foule sursauta à nouveau. De plus en plus stressée, la plus part des personnes s’éloigna le plus possible de la jeune femme. Néanmoins, une hosa répondre, d’une voix tremblante :

"Heu… on… la navette prends la direction de la station Tamao…"

Tamao… Ce nom lui disait quelque chose, mais impossible de ce rappeler quoi exactement. Elle se rassit donc, se revoilant la face avec son chapeau. Son dernier ordre fut donnée au reste de l’équipage :

"Et arrêtez de crier, j’veux pouvoir me reposée avant d’arriver…"

La foule émit donc un long silence qui dura pendant tout le voyage. Ils étaient surement tous en train de se dire qu’elle était complètement folle. Mais ça lui était égale, mieux vaut paraître fou que trop intelligent. On vous embétra moins. Le silence devenait trop pesant. Plus aucun bruit dans la navette. C’était stressant, Syntax se redressa, rajustant ses vêtement et exprimant autoritairement :

"Hey, reparler maintenant ça me…."

Elle observa l’environ… Plus rien, il n’y avait plus personne. Syntax se précipita contre la vitre, pour apercevoir que la navette était accosté.

"Merde !"

Elle sauta de son siège, saisissant sa guitare. Courant à toute hâte dans le long tunnel qui relier la navette à la station. Les portes commencer à se refermer, mais en un bon la jeune femme se faufila dans le sas. Son intense effort physique l’avait fatiguée, mais enfin, elle se retrouver au pied de l’immense station… inconnu. La foule avait déjà disparut. Elle était probablement la dernière dans ce lieu. Son souffle était saccadée, elle avait la tête basse, observant ses chaussettes rayées, les mains sur les hanches, comme pour reprendre son souffle.

Puisqu'ils avaient décidé de la surveiller de près, Alexandra avait décidé de les stresser un peu. Elle savait très bien que, tant qu'elle ne faisait rien de suspect, elles ne pourraient rien faire contre elle. Et puis, se moquer de la sécurité, cela l'occupait... En attendant que cette fichue dirigeante fasse sa réapparition. Aussi, elle se promenait souvent dans des endroits sensibles, tels les salles de gravité qui permettaient à tout le monde de vivre comme sur Terre, ou encore les fermes hydroponique qui fournissait toute la nourriture et l'eau potable de la station. Mais l'endroit qu'elle préférait aller, c'était dans le sas, lorsqu'on annonçait l'arrivée de nouvelles femmes. Elle se postait alors là, près de la porte d'entrée du sas, les bras croisées, les yeux rivées sur les nouvelles venues, qui ne manquaient jamais de s'arrêter un instant, prise de panique par ce sourire si méprisant et ces yeux... Parfois, il arrivait même que quelques personnes la reconnurent, et marmonne son surnom... "la tigresse...", ce qui, en général, provoquait un plus grand remoux encore dans le flot de ces pauvres petites créatures sans défense.

Mais, ce jour là, Alexandra remarqua quelque chose de bizarre chez les nouvelles arrivées. Elles étaient arrivées... Effrayées avant même de la voir elle. Visiblement, il avait dû se passer quelque chose. Intriguée, Alexandra regarda les jeunes filles prendre le sas d'entrée à l'autre bout de la station, ce qui les obligeait pourtant à marcher longuement avec leurs bagages, comme d'habitude - beaucoup craignaient de passer à côté d'elle - lorsqu'elle perçut une autre personne sortir de la navette. Une femme, qui, au premier regard semblait... Etrange. Aussi, sans ciller, Alexandra ne quitta plus du regard cette nouvelle venue, qui avait un comportement bien étrange. Etait-ce elle qui les avait effrayé à ce point? Si c'était bien le cas, cela promettait de devenir... Intéressant.

"Piuuuff….."

Elle émit un long soupir avant de se redressât noblement sur ces deux pattes. Les yeux clos, elle leva ses bras au ciel poussant un petit gémissement. S’étirée était une de ces occupation préférer après la sieste. Mais trop pris de panique elle n’avait pas eu le temps d’accomplir son rituel. Alors qu’elle se croyais seul dans le sas, elle commença sa parade d’étirement plus accentuer les un que les autre, rythmée par de faible bâillement. Après cinq bonne minutes de cette étrange parade, elle réouvrit les yeux, scrutant la salle. Une femme s’était posée à quelque mètre tout juste. A vue d’œil, elle faisait environs 1m72. Un corps très bien mis en forme. Le sculpteur de cette œuvre pouvait être fière de lui… Syn, pencha la tête, son regard balayer la jeune femme de bas en haut. La femme avait de beaux cheveux blonds qui entourée parfaitement son visage. Son visage… La voyageuse se stoppa net, lorsqu’elle aperçut les trait fin qui dessiner sa figure. Deux saphirs orner son précieux visage… Syn resta immobile dévisageant l’inconnu. Le sifflement de détachement de la navette brisa le silence pesant qui s’était installée. Elle saisit sa guitare pour la poser dans son dos et commença sa marche vers la femme au regard de prédateur. Car oui malgré la beauté de ses yeux, un aspect de carnivore insatisfait, ou peu être en chasse régner dans son regard. Plus qu’a quelques mètres, Syn se ralentit le pas, soulevant sa casquette d’un doigt, pour plongeait son regard dans celui de l’inconnu et occasionnellement saluer la jeune femme. Un sourire malicieux illuminée le visage de Syntaxe. Tandis que ces yeux analysés la personne qui lui faisait face, elle rabaissa ses mains, les glissant dans ses poche. Sa casquette retomba sur sa petite tête, replongeant ses yeux dans l’obscurité.

Ce petit bout de femme - car il s'agissait bien d'une femme, malgré son apparence totalement débraillée et sa musculature qui n'avait rien de spectaculaire - n'en finissait pas de capter l'attention d'Alexandra. Cette aisance, ce je-m'en-foutisme très clair qu'elle affichait en permanence, voire même cette insolence qu'elle criait aux yeux du monde de tout son âme - Alexandra trouvait tout cela très... Intéressant. Et, lorsque celle-ci n'hésita pas un instant à se diriger vers le sas contre lequel elle s'appuyait tout en ne se cachant pas de la dévisager de son air suffisant et sans se presser, avant de s'arrêter à son niveau pour la saluer du bout de la casquette, Alexandra se dit qu'il y avait peut-être quelque chose d'intéressant à tirer de cette personne. Néanmoins, son caractère pris le dessus lorsqu'il s'agit de s'adresser à elle, lui parlant immédiatement d'une voix cassante et grondante.

Qu'est-ce qu'tu m'veux? Tu veux mon hologramme?

C’était la première personne qu’elle croisée sur cette station. C’était comme un petit bout de rêve. La première créature qui lui était offert était une très séduisante jeune femme, prédatrice, guettant sûrement une nouvelle proie à ses mètres sous les crocs…. Et sa voix, telle un rugissement retentit dans l’espace freinant la course de Syn. La nouvelle arrivante était d’humeur taquine. Le danger était source d’amusement et la personne qui se présentée face à elle incarner parfaitement cette notion de danger. Alors, souriant de plus belle, Syn débita d’une voix amusée :

"Sa dépends...Il est dédicacée ?"

Répondre d’une telle manière était tellement courant chez elle. Et il fallait avouer que sa belle hautesse d’accueil était sûrement encore plus mignonne énervée… Fière de ses propos provoquant, elle replaça une de ses mèches blonde rebelle derrière son oreille droite. Sa jupette tomber le long de ses jambes. Sa lourde guitare pendait dans son dos, protégée dans son étuit noir, illustrée par de nombreux autocolant. Et quelques coup de peinture. Syn n'avait pas arretée de marcher. S'arreter c'était dire clairement qu'elle désirée engager une conversation, alors qu'en faisant mine de fuir elle donnait à l'inconnu la position de prédateur, dominant...

La réplique amusée et, il faut bien l'avouer, bien trouvée laissa un instant Alexandra sans voix... Avant qu'elle se mette à éclater de rire, d'un rire bruyant et fort, qui résonna dans tout le sas et sans doute dans les salles non-insonorisées collées au sas. Décidement, ce petit bout de femme lui plaisait beaucoup, et son humour était du niveau de son insolence. Alors, avec un sourire malgré tout peu engageant, Alexandra s'approcha d'elle et, vivement, lui attribua une grande tappe dans le dos, témoin de sa force très développée pour une femme, tout en lui disant d'un air amusé et encore prédateur.

Tu m'plais bien, toi, tu sais parler aux gens comme il faut! Ca t'dirait de travailler avec moi à redresser cette station pleine de bon-à-rien? Je t'en sens bien capable!

La proposition, cependant, n'était guère ambigüe. Il était clair qu'Alexandra lui disait de travailler avec elle, et que cette proposition ne viendrait qu'une fois dans leur vie. Et que, si la jeune femme osait décliner son offre, elle risquait de le payer cher dans un futur extrêmement proche.

La tape dans le dos, où plutôt l’uppercut bien dissimulée fit vaciller Syn. La force de son interlocutrice était surprenante. Et soutenait de part ce fait sa place dans leur relation. L’arrivante n’était pas bien forte. Son côté sportive n’avait pas était son principale soucis durant ses dernières années. Ses compétences n’étaient pas pour autant à dénigrée. Douée d’une grande dextérité, il lui était aisée de soutirée un porte monnaies discrètement ou de se défaire des liens qui la retenait prisonnière de… menottes par exemple. Ici, lui faudrait surtout une bonne constitution pour soutenir les tape amicale de l’inconnu, son intelligence de toujours pour jauger de la dangerosité de son opposante et enfin de bonne jambe pour échapper à son assaillante lorsqu’elle l’aurait fait clairement comprendre qu’elle ne compter nullement travailler… Car oui, bien que la proposition fut fortement alléchante, Syn n’en ferait rien. Comment pouvait-elle penser qu’elle servirait à d’autre chose que d’assouvir ses besoins purement personnelle. Elle se stoppa alors, fixant son hôtesse d’accueille :

" Hélas… vous devez vous tromper sur la personne. Ma constitution trop faible m’empêche de fournir un quelconque effort. Les médecins disent que c’est à cause de mon anémie. Je ne servirais à rien, la fatigue m’emporterais et je deviendrais un gène… "

Elle lui fit un léger sourire compatissant. Syn avait bien compris qu’elle s’engouffrais dans un jeu dangereux. Lui répondre comme elle l’avait fait avec l’olographe n’était vraiment pas une bonne idée… Mais comme à chaque fois, sa grande bouche avait pris de rapidité ses neurones de services. Juste en observant celle qui lui faisait face, ses traits, ses gestes, mais également sa voix, la guitariste avait bien compris que c’était une femme fatal… Il lui fallait rattraper le coup de manière ingénue pour évitée les trop grand frais… c’est comme ça qu’elle avait eu l’idée de sa faible constitution, grossier mensonge mais tout était bon pour retirer sa patte du piège… Elle repris d’une voix nette, le sourire toujours au lèvres :

"Je suis sur qu’en attendant encore ici quelque jours, vous devriez trouvez quelque un…"

*Biiiiip ! Mauvaise réponse…. Tu veux mourir ou quoi ? *

Foutu langue, pourquoi devait-elle être championne des départ rapide ? Son ton n’étais pas réellement insolent. Une personne normal l’aurait même pris en rigolant… Mais la femme qui se trouvait en face d’elle n’avait rien de normal…

*Calme le jeu... calme le jeu...*

Alors avant que l'inconnu ne puisse hurler quoi que se soit, elle retira sa casquette, passa une main dans ses cheveux pour redonner un peu plus de désordre à sa chevelure blonde. Une main tenant la sangle de sa guitare, l'autre faisant tournée son chapeau sur son doigt. Elle pris un air des plus provoquant. Si tu veux faire face à un tigre, ne lui met pas un chat dans les pattes, se disait-elle. Puis riant sensiblement, sarcastiquement elle continua :

"Mais je suis curieuse de savoir pourquoi tu crois que je puisses t'aidez en quoi que ce soit ? C'est marqué sur mon front que je suis un génie ?"

La réplique de ce petit bout de femme fit rapidement à nouveau hurler de rire Alexandra, qui, visiblement, appréciait son humour, même quand cela n'en était pas. Car, pour Alexandra, tout ce que disait cette frêle jeune femme était de l'humour. Aussi, après ses déclarations et son grand éclat de rire, Alexandra l'attrappa dans son bras droit et colla sa tête contre elle d'un geste brusque et amusé... Sans l'attention de lui faire particulièrement mal, bien sûr, mais sans douceur non plus. Un geste rapide et solide qu'elle aimait bien faire avec les gens qu'elle appréciait.

Tu es vraiment amusante, tu sais! Rien que pour ça, je t'aurai gardé avec moi! Mais j'ai d'autres projets pour toi. Et t'inquiète pas, c'est pas ta force physique que je cherche, j'ai tout ce qu'il faut de ce côté-là. Non, ce qui m'intéresse en toi, c'est... Ce que t'as là!

Lui dit-elle, se penchant sur elle, et lui tapant fortement du doigt sur le front avec son sourire mesquin.

Tout ce que je te demande, c'est d'être... Toi, en fait. C'est tout. C'est comme ça que tu me seras utile.

*Elle rit ! Elle rit ! Gozilla rit !*

Ses pensée étaient submergées par l’idée d’association mesquine qu’elle avait entrepris. L’inconnu, forte et autoritaire c’était mêlée à l’image du terrifiant répile vert. Dominant la ville a la manière de King Kong, elle tenait entre ses griffes la pauvre fille blonde. Peu glorifiant pour elle-même, Syn se retrouvait à la place de la demoiselle en détresse suppliant pour que la créature diabolique la lâche. C’était un peu près le conte rendu de la situation actuel. Si ce n’est que son assaillante n’était pas vert, et qu’elle contrairement à l’héroïne de ce vieux film pouvait alignée plus de trois neurones ne même temps.
Heureusement sa petite manœuvre avait dévier la fureur de la bête. Malheureusement elle avait attirée toute l’attention de cette dernière. La belle jeune femme au long cheveux long, car rappelons le c’était une femme, pas un lézard, l’avais pris sous le bras… et non dans les bras… Preuve même de la sympathie profonde qu’elle éprouvait pour la voyageuse. Syn plissa ses petits yeux bleue affichant une grimace qui se voulait être un sourire de contentement mais qui, pour des regardeurs attentif se transformer vite en trait marqué par la gène et le désarrois. Attention l’animal rugit :

"Tu es vraiment amusante, tu sais! Rien que pour ça, je t'aurai gardé avec moi! Mais j'ai d'autres projets pour toi. Et t'inquiète pas, c'est pas ta force physique que je cherche, j'ai tout ce qu'il faut de ce côté-là. Non, ce qui m'intéresse en toi, c'est... Ce que t'as là!"

Elle cogna sans vergogne son pauvre crâne qui, si un épais cerveau ne retenais pas les paroi, se serait fendu à l’endroit même de l’impact entre sa tête et les doigts de l’inconnu. Mais malgré toute l’image satyrique que ce faisait Syn de la scène, elle n’en restait pas moins ébahit intérieurement. La comparaison avec un monstre était sûrement un peu brutal… et toute suite faussée lorsqu’elle lui avoua avoir besoin de ses compétence intellectuelle…. Un animal doté de raison n’est à son sens, plus un animal puisque justement il à une raison. Or comprendre que Syn était un génie n’était pas évident. A première vue, elle passait pour une vulgaire adolescente dépravée par tous les vices que la société pouvait avoir inventé. Même à deuxième vue, on n’apercevait qu’une gamine insolente et égoïste… Je ne parle même pas des troisième vue et autre qui suivent car Syn paraissait tous sauf d’être un être douée d’une certaine intelligence. Seul les œil attentif, et correctement reliée au lobe occipital pouvait faire le lien entre Syn et un cerveau…
C’est en ce sens qu’elle compris que la personne qu’elle avait en face d’elle n’était pas une simple créature sortit des studio Hollywoodien mais belle et bien un fauve au sens affûtée et aux but obscur….
Travaillée pour elle serais signée son arrêt de vie… Car il était évident que la mort serait bien plus délivatrice que de travailler pour elle… Mais ce quelque chose machiavélique qui émanée de cette femme forte et autoritaire plaisait à l’ado. De plus ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu de défit à sa hauteur et la poussière commencée à s’accumulée dans sa boite crânienne. Il allait falloir la jouer fine, se sera sûrement un exercice périlleux mais elle ne pouvait s’empêcher de se dire :

*La danger ? Je me ris du danger ! Et depuis combien de temps exactement je ne me suis pas mise une station orbital à dos ? Sa risque d’être fortement amusant…*

Approchant son visage un peu plus encore de son assaillante, elle fit un grand sourire sadique, fixant l’étrangère d'un regard peu catholique :

"Je ne travaille jamais avec les gens dont j’ignore le nom…."

C’était clair, elle venait d’accepter son nouveau job. Il ne restait plus qu’a savoir le règle du jeu, et la partie pourrait bientôt commencer….

Quand la jeune femme lui dit qu'elle ne travaillait pas avec les personnes dont elle ne connaissait pas les gens, Alexandra sourit d'un sourire carnassier, et posa ses grands yeux bleus profonds sur la pauvre créature qui venait d'accepter de s'associer avec elle, un regard qui marquait encore plus son sourire carnassier et qui lui donnait vraiment un air d'aggressivité, de félinité et de méchanceté, un air de... Tigresse, en fait. Et, sur cela, elle appuya sur la casquette qu'elle portait sur la tête.

Ah, voilà une décision raisonnable! Il faut toujours connaître les gens avec qui on travaille... Je m'appelle Alexandra Troskrin, mais tu peux m'appeller la Tigresse, si tu prèfères... Ou un autre sobriquer qui te plaira, petite.

Alors, Alexandra Troskrin se rapprocha d'elle d'un air amusé.

On est un peu trop surveillé dans ce coin. Si tu veux, on a qu'à aller prendre une chambre! Ca tombe bien, d'ailleurs. Bizarrement, personne n'a voulu la partager avec moi...

Bien entendu, elle dit ces dernières paroles avec son sourire carnassier où suintait l'ironie de sa remarque. Il était évident pourquoi personne n'avait osé rester dans la même chambre qu'elle.

La casquette s’affaissa sur son crâne plongeant le haut de ses yeux dans l’obscurité. Son champ de vision était grandement diminuée, mais elle continuer à grima…sourire. Alexandra, telle était son nom… La tigresse. Ciel que ce nom lui allait à merveille. Sa pupille se posa sur le visage de son assaillante. C’est vrai que ça lui allait bien, son regard, ses formes athlétique, son caractère audacieux… Humm ce nom était fait pour elle… Mais or de question que ce soit aussi facile, Syn décida dans l’immédiat de la renommé. L’appeler par son véritable prénom n’était pas malin. Si les activité qu’elle lui réserver n’avait rien de légal, il fallait mieux éviter cette éventualité. Et l’appeler Tigresse, lui aurait fait trop plaisir. Faire plaisir c’est se soumettre, du moins dans cette circonstance… Alors il lui fallait un tout autre pseudo… Perdue dans ses pensées, elle fut durement ramener à la réalité lorsque Alexandra lui ordonn…. Proposa d’aller prendre une chambre.

"Personne ? Ça alors… qu’elle faute de goût …"

Elle sourie en redressant sa guitare qui glisser doucement sur ses épaules. Elle était assez lourde, mais c’était son fardeau, sa main cramponner la bandoulière. Personne ne pourrait lui ôter ce bien. Elle redressa son chapeau pour mieux analysée l’environnement… Il n’y avait personne dans se Sas et alors qu’elle joncher du regard les lieux elle repris d’une voix inflexible :

"Alors mettons nous en route associée …"

C’est dernier mot était dis avec une pointe de sérieux jamais atteint encore dans tous ce qu’elle venait de débitée. Il fallait qu’elle soit clair avec la dame. Elle ne travaillerait pas pour elle, mais avec elle. Ce fut dis, maintenant il fallait observer comme évoluerait leur relation…. Syn imaginait déjà son plan B. Le C n’allait pas tarder…

[direction les chambres]