En regardant ses mains, Eïkiko se souvint du noir qu'il y avait toujours sur les ongles de Jone. Cela par-ce qu'elle se mauillait et n'était pas soigneuse.
Cette station était résolument vide. Comment pouvait-on se trouver seule dans un endroit si vaste alors que tant de femme étaient venue ici selon les autres.
Elle regarda par la fenêtre et vit des gens en bas. Elle souirit. Puis elle se rapella comme dans un battement de cil cette scène qui se répétait. Elle regardait par la fenêtre et voyait les gens en bas, de la même façon. Elle avait toujours envie de parler aux autres, mais elle était resté à l'écart de peur de parler. Affronter le regard des autres était si dur. Ouvrir la bouche, esperer être écoutée. Comment les gens faisanient -il pour qu'on s'interesse à eux? Comment faire pour parler à des inconnus quand aucun pretexte ne nous y pousse. L'humour? Oui mais c'était un peu trop flagrant pour quelqu'un comme Eïkiko qui, malgrès les apparences, s'attachait à la finesse d'une relation.
Chaque fois qu'elle faisait un pas vers l'exterieur elle esperait qu'on lui adresse la parole, mais cela ne pouvait pas être possible, on n'adresse pas la parole aux inconnus, pas sans une raison. Toute ces fois ou elle regardait des gens sur le chemin de sa maison et qu'elle se disait " peut être qu'on aurait put s'entendre?". Toute ces fois ou elle avait pensé " peut être qu'il aime manger les mêmes choses que moi, ou au contraire qu'on aurait pu partager ce que l'autre n'aime pas par-ce que nos gout son différents"? Elle s'imaginait de petites scènes dans sa tête ou elle était amie avec les gens qui passaient et qu'elle ne reverrai plus jamais.
Sa vie allait-elle être contamment peuplée de gens qui ne savent pas l'approcher et qui ne vivent que dans un de ses rêves qu'elle a crée sans eux?