Arrivée de Miya

Des talons claquèrent sur le sol. L'ombre de ce qui aurait pu être une grande demoiselle s'approcha de l'intérieur de la pièce, précédent celle à qui elle appartenait réellement. Pendant que la résonance impérieuse se faisait plus distincte, une jeune fille de taille finalement peu impressionnante, rendant ce son fort, apparut de plus ne plus nettement. A présent c'était la pliure du cuire qui se faisait entendre, la charnière grinçante de la matière difficilement flexible. Les bras croisés et les cheveux raides comme son allure elle s'arrêta près de cette nouvelle inconnue. Elle la scruta avec un air mesuré et sans se baisser haussa un sourcil. Fixant la jeune femme à l'habit extravagant mais peu rare dans certains quartiers, elle attendait de voir si celle ci allait dire quelque chose, vu qu'elle gisait au sol comme une sauvage sans retenue.
Quelques secondes de silence lui firent perdre patience et elle commença à tourner les talons d'un air un peu contrarié. Il faut admettre qu'elle n'avait absolument aucune raison de rester là plus longtemps si les indigènes de ses rencontres étaient muets comme des carpes. Mais elle parti doucement disons pour se garder bonne conscience, au cas ou...

Miya avait très mal et gisait très violement au sol. Après quelques secondes elle vit une jeune femme devant elle, mais Miya n'osa pas se lever directement. Voyant que la jeune femme se retournais pour partir sans doute, Miya essaya de se relever lentement et demanda.

" ... Excusez moi mais... vous seriez où je pourrais.. trouver l'entrée ? "

Miya avait l'air un peu gênée à cause de ce qu'elle avait fait juste avant.

Kakeru se gratta l'arrière de la nuque et se retourna comme si un insecte avait volé prêt de son oreille. Se sentir plus supérieur était penser se trouver au sommet de la voie lactée.... Kakeru s'y voyait bien. Parfois, plus petite elle avait demandé à ce qu'on l'apelle Cassiopée. Mais comme peu de choses transparaissaient sur son visage on ignorait à quel point elle pouvait se rire de l'humanité. Et là d'un coup elle n'avait plus trop envie de répondre à cet habit remplis d'être humain qui piaillait une question. Elle avait même envie de l'ecraser en marchant dessus... Mais comme on dit " celui qui écrase le mégot des autres est soupçonné de sympathie pour le fumeur"

"La sortie c'est par là, mais tu ne pense pas qu'il serait plus interessant de faire demi tour? Dans l'espace l'apesanteur t'évitera de prouver que tu ne sais pas marcher!"

* A moins que même flotter lui semble un obstacle? *

Même Jone ne savait pas que lachée en terre inconnue elle était exactement la même. Mais quel délice d'avancer tout droit même quand le terrain geignait... c'est à dire quand on écrasait quelques personnes...
Elle s'approcha du bébé qui avait besoin d'un youpala pour mettre un pied devant l'autre et lui fit tout de même un drôle de sourir. On ne savait pas bien pourquoi...

Miya vit la jeune femme se retourner et attendais sa réponse. Quand elle reçu la réponse elle avait bien entendu que cette derniere s'en moquait un peu. La jeune femme se rapprocha et l'aida a marché, en même temp elle lui fit un sourire...

" ... Ce n'est pas que ... que je ne sais pas marcher, mais quelque minutes après mon arriver, j'ai senti un énorme mal qui m'a fait ... tomber par terre "

Miya se faisait presque porter et écouta la jeune femme, elle n'eu pas vraiment le temp de répondre à la premiere question de celle-ci. D'abord elle demanda qu'elle était la douleure que Miya avait eu et de lui prévenir quand elle pouvait la lacher.

" Je crois que ca va aller, encore merci de ton aide... même si tu avais un peu l'air de t'en moquer. Pour répondre à ta premiere question, a mon avis ca dois être venu de l'époque où me père nous battait... moi et ma mère...
Bon je crois que je vais te laisser a tes occupations, je ne tenais pas à te déranger... "

Miya regarda la jeune femme, celle ci lui avait sourit encore une fois mais c'était certainement pour dire que ce suplice serait bientot fini.

"Evidemment que je m'en moque. Ou plutôt disons que j'y suis indifférente. Mais rassure toi si je ne tiens pas de fonction à l'infirmerie c'est bien pour cette raison. Je n'ai rien pour, ni contre toi en particulier. Tiens c'est étonnant cette petite mouche que tu as au coin de la bouche. Ma mère en avait une aussi, elle était blonde comme toi. Mais elle n'était pas très belle. Enfin à côté je suis un chef d'oeuvre. Enfin... je parle encore de moi au melioratif, comme si c'était un temps répertorié en conjugaison. C'était histoire que tu ne t'ennuie pas et moi par la même occasion. Tu réalises que toute les deux n'avons aucune raison de nous apprécier?"

Visiblement Kakeru était soudainement d'une humeur plutôt positive. Elle aimait bien se faire mousser. Quelle pimbêche tout de même. Mais à la voir avec ses cheveux noirs et long et ses yeux de la même couleur... Difficile d'imaginer sa mère. C'était peut être le plus étonnant dans son récit.

" Ici tu trouvera parmis les objet des gens... Facile à voir, généralement ça parle et ça respire. La plupart font semblant d'être comme moi mais sont des coeur d'artichaud voir des filles faciles. J'espère que tu trouvera ton bonheur!"

Elle avait dit cela du sourire le plus ironique imaginable. Non pas perfide, mais tout de même elle ressemblait à une veuve noir quand elle avait tant de tendresse pour les autres. Elle semblait même inquiétante. Mais encore une fois elle ne se préocupait que de sa petite personne, enfin... "Grande personne" comme elle se plaisait à dire.

" Je t'emmène devant la prêtresse de l'ingratitude si tu le désires, enfin je veux dire l'infirmerie... Rassure toi si les dieux sont avec toi elle ne te soignera pas."

( selon ta réponse, soit tu part seule vers l'infirmerie ou même ou ça te chantera soit tu peux poster à l'infirmerie en m'attendant... comme cela te siera. Siera? Nevada? hahahahaha!)