Se réveille à son arrivé..

Les paupières lourdes, le crâne brulant, les muscles faibles, la jeune fille arrivée il y a deux jours à la Station Tamao combattait sauvagement le coma. Il était en train de la laisser se réveiller.. enfin. À la suite de quelques minutes, elle réussie à ouvrir ses yeux avec difficulté mais en vain. Son regard se posa premièrement sur la peinture blanchâtre du plafond, deuxièment sur les murs tout aussi blanc autour d'elle et sur les quelques affaires qui ne lui dit rien pour l'instant et dernièrement, sur son corps qui devait être attaché à sa tête. Soupir de soulagement lorsqu'elle le fit en un seul état car elle ne possèdait plu aucune sensation de ses membres. La jeune femme à la chevelure blanche, continua de se regarder pendant quelques minutes enfin d'essayer de se remémorer comment elle était arrîvée là..

* Mais qu'est-ce que je fais ici? Comment suis-je arrivée là? Et pourquoi je ne sens toujours pas mes membres ??? *

Plus aucune sensation mais les sentiments, eux, étaient toujours là. Dont celui de peur et de colère surtout de ne plus rien se rappeller. C'était comme si son existance se relevai à 5 minutes pas plus. Cela était très inquiètant..

Enfin, elle décida d'essayer de se lever mais rien n'exécuta ses ordres. Elle décida alors un autre option, sa voix. Alors elle se mit à parler d'abors doucement et plus fort se rapprochant d'un appel de détresse car personne ne répondait et la panique prennait le dessus.

" Est-ce qu'il y a quelqu'un ?.. Svp... HEY HO !! .. Quelqu'un ! Svp !! "

Elle tendit l'oreille et continua d'attendre...

Tranquillement, Ana revenait de la cafétéria juste pour aller prendre quelque cachets d'anti-douleurs, mais à sa grande surprise une demoiselle avait été allongé sur ses lits sans qu'elle en ait été prévenue. Sortant de ses idées noirs, elle se précipita près de la jeune femme qui semblait appeler à l'aide. Elle se pencha au-dessus d'elle comme si elle avait vu la dernière des fées. Les cheveux blancs immaculés... On aurait que son visage se crispait de douleurs infernales. Hors, l'infirmière de la station commença à chercher la source de toutes ses malheureuses grimaces. En même temps, elle prit la parole voyant bien que la souffrante avait de la difficulté à parler:

« Bonjour mademoiselle, mon je m'appelle Ana et je suis infirmière de cette station. Ne craignez rien, je m'occupe de vous, premièrement je vais vous donner deux bons advils, ça reposera vos muscles...»

Cherchant toujours ce qui n'allait pas, Ana eu peine à se retenir d'un petit lorsqu'elle vit les cicatrices sur le pauvre corps aussi blanc que sa chevelure soyeuse. Elle savait très bien se qui s'était passée. En regardant la "demi-humaine" elle lui posa ;a question qui suit:

« Est-ce que je peux savoir qu'est-ce qui vous amène ici? Vous vous rappelez de queslque chose? »