La mélodie du souvenir.

Leona ce rappelait de l’endroit de la chute d’eau et emmena sa nouvelle amie quand elle arrivèrent le bruit de la cascade ce fit entendre apportant une douce mélodie à leur oreilles, Leona était encore charmer par les arbres, les cerisiers, l'eau cristalline s'écoulant de la chute d'eau, l'endroit était vraiment enchanteur, l'herbe était tendre et colorer d'un vert magnifique, Leona l'amena au bord de la cascade ou l'eau bleu brillait doucement, la cascade dégageait du vent qui fit voler les cheveux de Leona ainsi que sa robe blanche sans manche, ses blessures était presque guérir et avait remplacer les bandages par des rubans rouges qui flottait eux aussi doucement.

Arrivé à la cascade, Ana tomba sous le charme de l'endroit tant aimé de sa nouvelle copine. Le décor était de toute beauté et entendre le buit de l'eau pur et calme fit frissonner Ana. Elle jeta un coup d'oeil à Leona dont la superbe cheveure virevoltait au vent. Sa jolie robe blanche parraissait encore plus belle. On aurait une déesse dans son royame. Lorsque les deux femmes approchèrent le bord de la cascade, l'eau qui vint se reflèter dans les beaux grands yeux de la déesse. Toutefois, quelque chose troubla un peu Ana. C'était les blessures que Leona avait...

-«Cette endroit est féérique, je n'ai jamais rien vue de telle! Le vent est doux et la sensassion de bien être est au rendez-vous. Dit-moi, je ne veux pas t'offusquer, mais... est-ce que tu...tu... pourrais me parler un peu de tes blessures? Si...si... tu en as envie bien entendue...»

Ana invita Leona à s'assoir dans la verdure pour se détendre un peu plus.

Leona regardait la cascade quand Ana lui demanda d'ou venait ses blessures, elle fut surprise mais à la fois triste puis Ana l'invita à s'asseoir ce qu'elle fit puis porta sa main un la blessure qui barrait son oeil qui par miracle n'était pas crever, elle pouvait le lui dire, elle l'avait dit à Jessica et cette dernière lui avait dit qu'elle pouvait faire confiance au femme d'ici. Elle ramena ses genoux vers elle puis dit :

" Mes blessures...Pour cela il faut que je te raconte tout depuis le début sinon tu ne comprendrait pas, je suis née naturellement...du ventre de ma mère qui était prisonnière des hommes, c'était un cobaye. Je vit donc le jour dans un laboratoire on me sépara de ma mère alors que j'avait deux ans et je fut sujet a de nombreuse expériences surtout mon corps un an plus tard ma mère mourra suite à ses blessures trop importante quand à moi je fut changer en arme de guerre contre les femmes et j'en tua beaucoup plus tard on me donna Hasu mon deus mecha mon seule ami je lui confiait tout. Bientôt je fut dénuer de sentiment obéissent comme un bon petit toutou mais un jour alors que je finissait une mission je blessa à mort une jeune fille de mon âge qui me posa cette question que je n'oublierait jamais ‘ Pourquoi te bat tu contre les tiens ? ' Cette question me percuta de plein fouet elle eu juste le temps de m'ouvrir les yeux sur mes véritable ennemie...les hommes je me posa beaucoup de questions et je demanda des réponses à mes supérieur qui n'on rien trouver de mieux que me punir cruellement, s'en fut de trop je m'échappa de ce laboratoire en tuant tout ceux sur mon chemin et suis arriver ici gravement blesser..."

Leona pleura doucement en parler avec Jessica lui avait fait du bien, mai sa blessure était toujours la et bien présente, elle essayait de ce retenir mais revoir le visage de cette fille qui lui sourit jusqu'a sa mort, lui lacérait le coeur.

Leona s'assit à côté d'Ana et lui raconta toute son histoire. Ana était abasourdie. Toutes les souffrances que Leona avait due endurer et puis se visages qui la hantait... Ana ne savait pas trop quoi dire ou quoi faire lorsque Leona se mise à pleurer doucement. D'autant plus, ses larmes étaient tellement sincère. Des larmes qui n'ont pas due couler souvent... Ces petites goûtes d'eau, on avait envie de les prendre et de les conservés tellement elles étaient belles. Ana ne pu que ressentir de la compassion et de la tendresse envers la belle Leona.

-« Je suis désolé de t'avoir fait des choses aussi difficile pour toi. Parfois je ne pense qu'à moi, mais mon désir était vraiment de t'aider en t'écoutant. Il y a des temps où nous avons besoin de nous faire écouter comme cela. Dit-toi bien que je ne te jugerai jamais et que j'admire énormément comment tu t'es sortie de cette situation si compliquée. Tu es plus forte que tu le penses Leona. Tu es incroyable...»

Ana s'approcha pour étreindre sa nouvelle amie, mais eu un instant d'hésitation. Elle ne voulait tellement pas faire de mal à cette déesse... Elle se contenta que de lui prêter son foulard personnelle mauve et essuya ses délicates larmes.

Ana lui dit qu'elle était désolée pour lui avoir fait dire c'est chose si dur pour elle puis lui dit que cela faisait du bien d'être écoutée oui sa elle n'en doutait pas un instant puisque qu'elle en avait déjà parler à Jessica et cela lui fit du bien puis Ana dit qu'elle ne la jugerait jamais et qu'elle admirait, que Leona était plus forte qu'elle ne le croyait, qu'elle était incroyable. Leona la regarda surprise par les paroles Ana jamais on lui avait dit cela c'était une première. Leona vit l'hésitation de la jeune femme, Ana sécha ses larmes, ce geste ému Leona lui rappelant les gestes tendres de sa mère quand elle pleurait, Leona prit les mais de Ana dans les siennes et lui dit :

" Merci..."

Un simple mot qui voulait tout dire, la gratitude pour Ana qui avait su en quelques mots la réconforter, elle porta les mains de Ana sur son coeur qui battait un vite du à l'émotion.

Ana vit la surprise dans les yeux de Leona, mais savait que sa belle amie méritait les paroles qu'elle venait de lui dire. Leona prit les mains de Ana et cette dernière ne pu s'empêcher d'avoir une montée de chaleur quasiment étourdissante. C'était la première fois qu'une personne acceptait d'ouvrir son coeur si honnêtement à elle. La jeune déesse la remercia et porta les mains de sa sécheuse de larmes à son coeur. Ana rougit de plus belle. Mon dieu, comme il faisait bon de ressentir la sincèrité d'une personne. Ana ressenti les palpitations cardiaque accélérée de sa compagne et en fut vraiment émue. Quelle beau moment!
Ana ne put s'empêcher de glisser ses mains derrière son coup pour enfin se rapprocher de son amie et l'étreindre juste assez fort pour que Leona puisse se sentir protégée.

Elle chuchota à son oreille:« Je jure que si quelqu'un te fait du mal, je serai là en permanence pour te protéger. Le simple fait que tu t'es ouvert à moi comme ça nous unis d'une telle façon que je pourrai ressentir lorsque tu n'iras pas bien.»

Ana se retira et regarda dans les beaux yeux de sa petite déesse longuement lui amenant à son tour les mains sur son coeur battant à la chamade, pour lui assurer sa sincèrité. Elle attendait une réponse de sa protégée.

Leona vit rougir Ana quand elle lui pris les mains et les posa sur son coeur puis sentit les main mains de Ana glisser sur sa nuque et la rapprocher d'elle et l'étreindre puis lui dit qu'elle serait toujours là pour la protéger et que si elle n'allait pas bien elle le serait car elle était lier par la sincérité de Leona. Leona la regarda avec émotion scrutant son regard et sa sincérité se reflétait comme l'eau reflète la lune, Ana pris a son tour les mains de Leona et les mis sur son coeur qui battait la chamade, elle rougit à son tour personne ne lui avait dit un jour qu'elle la protégerait jusque là elle devait ce débrouillé toujours toute seule, elle pleura mais cette fois c'était des larmes de joie qui coulait elle enlaça Ana et nicha sa tête contre son épaule la mouillant de ses larmes.

" J'ai tellement attendu que quelqu'un comprenne ma détresse et ma solitude...Tellement attendu..."

Leona n'en revenait pas des paroles d'Ana, elle se remit à pleurer, mais cette fois-ci c'était des larmes de joie. La déesse d'Ana l'enlaça et se posa sur son épaule. Elle lui dit qu'elle a entendu longtemps une personne comme Ana. Ana fut surprise de la réaction de sa belle amie et elle répondu à son action en l'entourant de ses grands bras. Il faisait si bon de se coller contre Leona. Ana frotta délicatement le dos de sa protégée et lui passa la main dans ses cheveux aussi douz que du satin. Comme il faisait bon de ressentir le coeur de Leona contre sa poitrine. Comme elle était attendrissante cette Leona.

*Je me jure de ne jamais la laisser seul!*

C'est alors qu'Ana laissa sa pensée parler:« Leona tu es comme une Déesse pour moi... J'ai l'impression de rêver... Tu es vraiment belle Leona. Tes larmes sont des joyaux qu'ils ne faudraient jamais perdre. Je serai toujours là pour toi. Tu pourras toujours venir me parler!

Se rendant compte de se qu'elle venait de dire, Ana rougit tellement qu'elle ressemblait à une tomate. Maintenant elle avait une nouvelle amie pour la vie et ça, c'était très très important pour Ana.

Leona sentit les bras de Ana ce refermer sur et lui frotter le dos tandit que l'autre main allait dans ses cheveux. Elle ferma les yeux pour ressentir cette douce chaleur contre elle, ce coeur qui battait avec le sien. Leona ouvrit grand les yeux au propos de Ana et rougit de ce qu'elle venait de dire prenant la même teinte rouge qu'elle puis elle reposa sa tête sur l'épaule. Leona venait de ce trouver une amie précieuse comme Jessica, c'était décider elle ferait tout pour protéger cette station qui désormais abritait les êtres qui lui sont cher. Leona s'écarta d'elle et dit :

" Et toi d'ou vien tu ? Qu'elle es ton histoire ? J'aimerais en savoir plus sur toi..."

(Je suis de retour, je vais mieux... Je dirais assez pour revenir voir ma chère Leona^^*, Ana s'ennuyait disons...)

Après avoir sortit ses paroles un peu trop prompte, Ana remarqua la jolie teinte rosée de sa nouvelle amie. En même temps (enfin, probablement) que Leona, Ana se jura de rester fidèle à la station coûte que coûte elle aussi. La jeune femme se retira d'Ana et lui posa des questions sur l'endroit d'où elle provenait ainsi que l'histoire d'Ana. Cette dernière ouvrit tout grand les yeux. Habituellement, Ana n'est pas habituée à se faire poser ces questions là. Mais elle se sentie touchée par l'intérêt que lui démontrait sa précieuse amie.

«Eh bien, je me suis acheté un aller simple pour cette station puisque sur la terre l'endroit où je vis commençait à être bombardée de plus belle. J'habitais la France avant. Comme les petit-déj était bon là-bas (je ne parle pas à travers mon chapeau lorsque je dis ça) et puis il faisait bon d'y vivre. Je vivais en Provence plus précisément à Avignon. C'est de là mon accent... Mon histoire ben... tu sais je voudrais pas trop d'embêter avec. Tu en as déjà assez avec la tienne...»

C'est vrai, Ana ne voulait pas choquer Leona. Alors comment allait-elle faire pour lui raconter son histoire le plus doucement possible? Pourtant ce n'était pas si compliquée comme histoire...

Mais bon... les grands yeux de la Déesse étaient assez persuasifs donc elle commença son histoire tranquillement.

«Tout commence par une simple histoire de coeur. J'ai un jour tombée amoureuse de ma meilleure amie et...»

Ana s'arrêta brusquement. Le fait de se rappeler sa meilleure amie était très douloureux pour elle. Elle prit deux minutes pour reprendre ses émotions.

«...Elle s'appelait Alyssa... J'allais au collège avec elle et nous étions dans le même programme, soit astro-communication. Un jour, je ne puis contenir mes sentiments et je l'ai embrassé. À ma grande surprise, j'eus un retour. Cette histoire à l'eau de rose dura environ 6 mois. Sauf que dans mon village, nous étions un très petit bassin de population. Donc, à l'école quelqu'un a découvert le pot-aux-roses et nous a divulgué dans le journal de l'école. Le soir même Alyssa était inconsolable, alors je lui ais proposé de fuir avec moi. Lorsque nous sommes sorties des barrières de protection d'Avignon, ça n'a pas prit 2 minutes que les hommes ont commencé à nous bombardé... Et là... là...»

Les larmes commencèrent à couler sur les joux d'Ana.

«C'est là qu'Alyssa s'est fait atteindre par une bombe micro bactérie qui avait un effet irréversible de la tuer en 5 minutes... Je courais devant et je l'ai senti se coller contre moi. Par la suite, elle avait du voir la micro bombe qui venait et c'est elle qui l'a reçue à ma place. Je remarqué sa blessure au dos. Je sus tout de suite que c'était la micro-bactérie. Je la pris dans mes bras et alla me cacher derrière de grands arbres et...»

Ana prit le temps d'essuyer ses larmes chaudes. Elle avait un peu honte de pleurer comme ça. Mais l'événement était tellement ressent.

«Elle m'a protégé... J'aurais pu mourrir à sa place... J'étais en avant alors que j'aurais pu être derrière... Sa main, je me rappel de sa main... Ses derniers instants furent de me toucher les lèvres et... et... de me dire que sa vie se finissait comme elle le voulait. Près de moi. MAIS J'AURAIS PU MOURRIR À SA PLACE MOI! ELLE AVAIT UN PLUS BELLE AVENIR QUE MOI!!! QUI SUIS-JE POUR AVOIR EU LE DROIT À LA VIE?!!!»

Ana pleurait de rage contre elle-même. Sa bien-aimée était morte dans ses bras sans qu'elle ne puisse rien y faire. Elle s'en voulait comme jamais.

(Voilà... j'avais un peu trop d'inspiration... tu m'excuseras... En tout cas, ça compensera pour hier.)

Leona écouta avec attention ce que lui disait Ana, elle disait qu'elle avait habiter la France ou il faisait bon y vivre et que les petit déjeuner était très bon Leona ce demanda ce que c'était des petit déjeuner mais écouta Ana elle venait d'avignon. Ana dit qu'elle ne voulait pas l'embêter avec ses histoire mais Leona fit non de la tête pour lui dire que cela ne la dérangeait pas après tout elle voulait savoir Leona regarda avec insistance Ana pour l'inciter à continuer ce qu'elle fit. Leona perdit sa gaîté au fil de l'histoire d'Ana elle aussi avait vécu des choses douloureuse Leona pris peur quand elle cria sa rage d'être en vie elle enlaça Ana en disant :

" Arrête ! Arrête de dire sa, si tu mourrait je serait si triste et si tu était morte ce jour la je n'aurais jamais pu faire ta rencontre et te serrer dans mes bras. Si elle c'est sacrifier pour toi c'est qu'elle voulait te voir vivre elle ne pensait qu'a ton bonheur alors ne dit pas sa sinon son sacrifice n'aura servit à rien ! "

Leona regarda Ana qui pleurait elle embrassa ses yeux et bu les larmes chaude de sa tristesse.

Leona fut prise d'une petite frousse lorsqu'Ana se mit à dérailler. Mais elle prit sur elle même et essayan de son mieux de la réconforter en lui disant que le sacrifice d'Alyssa n'aurait rien value si elle était morte elle aussi. Elle reprit en lui disant aussi qu'elle n'aurait jamais pu faire la rencontre d'Ana et la serre dans ses bras se qu'elle faisait depuis le début de ses paroles. Puis, Leona bu les larmes de l'enragée. Ana cessa de pleurer et fut éprise d'une grande sérénité. Sa Déesse l'avait réconfortée. La française se disait que la vie était merveilleuse même si Alyssa était morte, puisque Leona était bien vivante elle. Ana rougit un peu aux actes de Leona.

«Tu as raison, chuchotta Ana à Leona, Tu as raison je ne t'aurais jamais connu! Quelle aurait été ma viesans cette rencontre? Merci de me consoler. Merci d'être là. Merci de vivre!»

Une fois de plus, Ana profita un peu de la chaleur de Leona et l'enlaça à son tour. C'était bien vraie, elle allait commencer à revivre. Finit le temps des remords. Ana se retira de Leona et lui dit:

« Tu ne t'es même pas sauvé lorsque j'ai hurlé ma colère... Merci une fois de plus! Merci de me faire visiter aussi! Hum... je suis désolé de casser l'ambiance, mais j'ai fait un assez gros voyage et je me suis blessée au dos, donc j'aimerais pouvoir laver les plaies... Est-ce qu'il y aurait une douche ici?»

En s'étant levée pour dire ça, elle n'avait pas remarqué la disparition de sa nouvelle amie. Peut-être finalement, qu'elle avait eu peur? Non, impossible, elle savait trop bien que Leona, n'était pas du tout comme cela. Cependant, elle se demandait où elle avait bien pu aller. Se goût du mystère qu'avait Leona, ne fit que grandir la curiosité d'Ana. Elle adorait cette jeune fille et voulait absolument la revoir un de ses jours. Elle lui laissa une note qu'elle épingla au sol avec sa barette fétiche: Leona, ta rencontre m'a sauvé! Je veux te revoir à tout prix! Mes amitiés les plus sincères, ta nouvelle amie Ana! P.S. Je vais à l'infirmerie pour me soigner. Il faut que je change mes bandages...

Et Ana , s'en alla...

Leona avait soupirer de soulagement en entendant les propos réconfortant de Ana et la serra dans ses bras un peu plus fort pour la sentir contre elle que c'était doux ce corps chaud contre le sien puis Ana ce sépara de Leona pour lui dire qu'elle la remerciait mais qu'elle voulait nettoyer ses plaie elle c'était lever pour dire sa Leona avait eu une idée elle avait remarqué une porte qui donnait accès à un couloir qui menait au douches, elle ce leva pour voir si elle n'était fermer quand elle arriva à destination, elle vérifia qu'elle n'était pas fermer heureusement non elles pourrait passer par là. Leona toute joyeuse revena vers son amie mais eu la désagréable surprise de ne plus la voir elle la chercha du regard mais rien à faire elle ne la voyait pas alors elle cria :

" Ana ! Ana ! Anaaaaaaaaaa! "

Elle attendit plusieurs minutes mais rien pas un son, pas un bruit Leona commença à pleurer, son amie l'avait laisser elle ce sentait désemparer elle marcha un peu puis son pied marcha sur quelque chose de dur elle regarda une broche avec un mot dessus, elle pris la broche et lit le mot son coeur fut soulager de savoir qu'elle ne l'avait pas quitter elle partit alors en direction de l’infirmerie.