une première

Elle aurait put dire enfin, ou de puis tout ce temps, mais aucun mot ne venaient en bouche, cela faisait peut de temps qu'elle était en vie si l'on puis dire.
C’était la première fois pourtant qu'elle se sentait autoriser à se sentir libre comme une humaine. Entrer en ces lieux était quelque chose de magique, comme disait les humains. La sensation qui lui était permit de ressentir était agréable elle avait lut que cela s'apparenté à la joie.

"Je suis une conscience libre."

En effet elle ne pouvait considéré que son corps soit libre. La liberté c'est être née naturellement, ne pas échapper au temps est une liberté de choix une porte ouverte à une foule de sentiment.

Elle était habillée comme à son habitude, ne cherchant pas plus que ça à attirer l'attention du reste des femmes.
Alors que Rame avançait doucement elle profitait de ses grandes connaissances pour étudier tout le complexe. Elle put rapidement constater que les manques manquait d'information sur le lieu.
Mais très vite elle fut stopper, ou devait elle aller, que pouvait elle faire maintenant.
A ne pas vouloir attirer l’attention elle n’arrivait pas à se faire remarquer son premier contacte avec les femmes était intimidant. Elle était personne sur d’elle mais comment s’affirmer alors qu’il y avait tant d’être en ces lieux.
Même si tout cela était angoissant, le faite de ressentir un sentiment ne pouvait que lui plaire. Elle affichait alors un visage très intrigant entre la passion et la crainte.

"Si quelqu’un pouvait me dire ou je pourrais être utile?"

Autant pousser la question à l’ensemble du groupe quelqu’un viendrait peut être à son aide et éclairer sa lanterne.

Dans sa quête, son envie de se rendre utile à la 'population' de la station, Lite se retrouva à flâner dans les lieux communs où elle, comme tant d'autres, étaient passées et passeront pour intégrer ce havre de paix - si l'on fait abstraction des attaques exterieures, la station peut être vue comme un havre de paix: des femmes, toutes unies autour d'une même cause, aucune chance pour qu'une sorte de 'guerre civile ' éclate au sein de l'endroit.
Plus que tout elle voulait s'engager dans la cause des femmes. Celles qui étaient resté sur terre, celles des autres planètes; qu'elles viennent ici maintenant où plus tard, où qu'elles trouvent un autre havre de paix; qu'elles soient humaines, où de toutes autre race, c'était là cause DES femmes, donc de toutes les femmes.
La MétaMAchine; ancienne humaine qui avait un passé de toxicomane au coquelicot, pensait que pour aider le maximum de femmes, que ce fut mentalement, en les écoutant - ce qui était une capacité innée chez elle, qui, en plus d'être empathique, avait ce don de vous apaiser de sa douce voix et de ses mots - où en intégrant un programme scientifique où militaire en vue de défendre la station, il lui fallait commencer par rencontrer ces femmes. Qui qu'elles furent. Et elle pensait également que pour soutenir quelqu'un, mieux valait le faire à titre personel, individuel. Car on ne parle pas à des personnes douées de sentiments, d'une sensibilité si developpée ainsi que d'une intelligence certaine comme on parlerait à un stupide peuple aux instincts primaires...
Elle avait ce préjugé, à propos des hommes.
Elle s'était ainsi retrouvée à flâner là où arrivent les 'nouvelles'. A cet endroit, elle s'était retrouvée - bien qu'heureuse et l'ayant choisi - un peu perdue au début. Laissant derrière elle ceux - et celles - qu'elle avait toujours connu, un terre en champs de batail, elle avait été quelque peu...Perdue devant l'immensité de l'endroit. Enfin, elle s'était dit que si elle pouvait rendre service à une où plusieurs femmes en leur offrant un repère - sa présence, une vvisite de la station où que sais-je - elle en serait plus qu'heureuse. Altruiste? Peut être, mais généreuse, surement.
Son amour des personnes l'emportait toujours.
Le sas était toujours remplis de monde, entre les membres, les nouvelles arrivantes, les filles qui revenaient de missions où d'exploration, et elle regardait autour d'elle, de cet air intriguant et curieux, comme si elle découvrait tout pour la première fois. Cet air qui lui était naturel, même depuis sa transformation.
Une personne attira son attention, une jeune femme seule, qui semblait à la fois craintive et heureuse d'être là. Des yeux et cheveux d'un bleu aussi beau que celui du ciel à certaines heures sur terre. Elle ne savait pourquoi, mais au delà de l'apparence, certaines personnes dégageaient une aua qui l'attirait, non physiquement, donc, mais lui donnaient envie de les connaitre.
Allez savoir pourquoi, la personnalité de certaines personnes est nous est sensible, sans qu'on leur ait parlé, parfois. Lite la regarda, la timidité faisant encore partie de sa nature, sans oser aller la voir directement avec un discours tout fait.
*C'est bien de vouloir te rendre utile, Lite, mais tu ne vas pas arriver en disant 'bonjour, bienvenue à la station Tamao, je vous fais une visite guidée?' ...je risque de passer pour une hôtesse de camps de vacances...*
Elle se moqua d'elle même et sourit à cette idée, un sourire léger et sincère qui aurait pu facilement être pris pour un sourire de bien être.
Elle entendit une voix poser une question simple, alors qu'elle contnuait de marcher en pensant, l'air rêveur. Elle dirigea son regard vers l'endroit d'où lui semblait venir la voix et son regard à la fois rassurant et intriguant se posa sur le visage de la jeune femme.
"Bonjour, bienvenue... "
Elle bafouilla ce 'bienvenu', sa pensé précedente lui parasitant le cerveau, elle se detourna de cette phrase, tentant de ne pas paraitre stupide où gênée.
"...je m'appelle Lite et...Si vous venez d'arrivez, je peux vous indiquer l'endroit où vous présenter pour vous enregistrer, où l'endroit que vous desirez..."
LA MétaMachine esquissa un sourire timide, elle avait le sentiment d'être une pietre hôtesse d'accueil improvisée.
*Si je continu sur cette voix, je vais faire peur à toutes les filles que je vais approcher...*
Elle décida que son manque de confiance en elle ne serait pas un problème. Elle était determinée, et bien que timide, elle voulait, tout au moins, diriger cette femme.
"Je ne suis pas hotesse d'accueil, et peut être pas la personne la mieux experimentée, mais... Si je peux faire quelque chose, j'en serais ravie."
Ses yeux emplis et de sincerité et tout autant intriguants et chaleureux allaient de gauche à droite, tandis qu'elle s'adressait à cette femme - qu'elle trouvait charismatique, soit dit en passant.

"Bonjour, bienvenue... "

Une phrase sortie de nul par la fit légèrement sursauter. Elle regarda la personne et la détailla sa déduction fut rapide, la vie de cette jeune personne n’avait pas du être facile. Elle imagina aisément que les hommes avaient leur raison dans son histoire en faite ils apparaissaient toujours dans la vie des femme et souvent pour de mauvaise chose.
Rame dégagea alors ses cheveux bleus de devant son visage, elle réajusta son pull.

"Merci beaucoup."

Elle lui sourit, elle sentait son hésitation, c’était mignon, l’intimidation qu’elle ressentait à cause de tout ce monde. Quelqu’un avait fait attention à elle et Rame lui en était reconnaissante.

"...je m'appelle Lite et...Si vous venez d'arrivez, je peux vous indiquer l'endroit où vous présenter pour vous enregistrer, où l'endroit que vous désirez..."

Rame lui sourit gentiment

"Enchanté lite!"

Elle lui tendit la main avec assurance. Cette personne semblait être gentil et très disponible pour l’aider.

"Je ne suis pas hôtesse d'accueil, et peut être pas la personne la mieux expérimentée, mais... Si je peux faire quelque chose, j'en serais ravie."

Rame rigola un peut cette personne était très mignonne, elle posa la main sur son épaule.

"Ne vous inquiété pas je n’ai pas imaginer que vous poussiez être inexpérimenté. Merci d’être venue à moi. Je ne savais pas non plus qu’il y avait des hôtesses."

Rame regarda autour d’elle un moment.

"Vous avez dit que je dois me présenter, pourquoi, enfin c’est important? Enfin si je suppose,…excusez moi cela fait peut de jour que je vie c’est très dérangeant de voir autant de monde, de devoir faire autant de démarche."

Malgré les hésitations et les craintes qu’elle évoquait de vive voit rame restait très sur d’elle. Pour ne pas arrêter la discussion Rame trouva un sujet.

"Vous savez j’ai fait beaucoup de recherche sur le web, c’est fou tout ce qui se passe dans ce monde. Je tien à le dire je suis le fruit de la mauvaise imagination des hommes, tellement mauvaise que j’ai trouvé le moyen de fuir."

La jeune femme ne semblait pas dans le cas de Lite. Sûre d'elle, en plus de dégager une aura si positive, elle laissa une bonne impression à l"ancienne humaine. Celle ci lui serra la main fermement et de façon respectueuse. Cette jeune femme dégageait une aura incroyablement positive, elle semblait aimer aller vers les gens.
Les excuses de Lite furent acceptées et la main de la jeune femme sur son épaule un instant ne la gêna pas, mais acheva, au contraire, de la rendre sympathique à ses yeux.
"Il n'y a pas de quoi... j'étais là, et je ne vous ai jamais vue, j'en ai simplement déduit que vous auriez besoin d'aide pour vous reperer. J'avoue aimer les personnes en général..."
Elle lui rendit son sourire. s'enregistrer? Quelle idée. Si elle était entrée sur la station, elle avait eut un pass, et n'avait nullement besoin de s'enregistrer. Lite aurait-elle eut un moment de panique, face à la jeune femme? Enfin, cela était plus de l'embrouille mentale que de la panique. Elle se repris donc, afin de ne pas décourager la nouvelle venue. Il est vrai que si on l'avait accueillie avec pour sujet de conversation principal des démarchez administratives, Lite aurait surement été, elle même, un peu découragée.
"je me trompe... Non pour vous enregistrer, uniquement au cas ou vous voudriez une chambre... Parce qu'on a chacune notre endroit, partagé ou non, mais j'aurai le temps de vous expliquer tout ça... Et je ne sais pas moi même s'il y a des hôtesse d'accueil.. Cela était... Pour plaisanter..."
Pour plaisanter, c'est - à - dire pour l'aider à passer outre cette timidité qu'elle ressentait face à une personne qu'elle ne connaissait pas encore. Elle tentait de tenir les propos les plus clairs possible, répondant le plus calmement possible de sa voix grave et posée.

La suite de la phrase de la jeune femme l'étonna grandement, en même temps qu'elle lui fit ressentir de la honte pour le genre humain. Ainsi cette femme charismatique et agréable n'était née que depuis peu, et elle avait été créée par ceux qui faisaient partie de sa race de naissance. Mais qu'avaient donc les hommes en tête, pour crééer des êtres pensants, ressentant, et vouloir les utiliser comme des armes? Parce que Lite en avait bien déduit que s'ils créaient des femmes, c'était forcément pour attaquer les femmes nées 'naturellement'. Et ils devaient certainement se moquer complètement des sentiments éventuels de leurs créations... Si encore, parlant d'un esprit d'homme basique, on pouvait parler de création...
Elle ne resta pas indignée longtemps, parce que cela ne servait à rien, et pare que la personne qui se tenait devant elle avait l'air de posséder une intelligence - qui se 'calcul', selon Lite, à la façon d'aprehender les choses et la vie - incroyable.
"...et bien pour partir sur un pied d'égalité, j'atais humaine il y a encore peu de temps. J'ai...Quant à moi, fait le choix de devenir une métamachine pour défendre du mieux que je peux la station... Et je n'aurait jamais deviné... Que vous n'étiez pas... Née biologiquement..."
Mieux valait, selon la métamachine, ne pas laisser de doute quant à sa véritable identité. Elle n'avait changé d'identité par haine où ressentiment pour les hommes, pour sa race. Mais elle préferait le signaler. Comme lorsqu'elle atait sur terre, dans ce petit havre de paix, avant que la guerre n'y arrive, et qu'elle precisait son orientation sexuelle à ses rencontres. Mieux valait que les personne,s qui qu'elles furent, sachent à qui elles parlaient.
Certains diront que cela est inutile, que c'est en se cotoyant que l'on apprend le mieux à se connaître, que les gouts, tendances et couleurs, ainsi que le passé, ne compte pas. Mais Lie préférait être,elle aussi, claire la dessus.
"Vous vous êtes enfuie de la terre, où d'une base? je trouve ça très courageux. Je ne sais pas si j'y serait parvenue, mais enfin, lorsqu'on a des sentiments et que l'on souhaite quelqeu chose... Il parait que la volonté aide à déplacer des montagnes..."
Son visage doré et ses grands yeux noir s'eclairèrent d'un sourire sincère. La mersonne qui se tenait en face d'elle lui smeblait comme un rayon de soleil; belle, une aura positive au plus haut point, parlant librement et sans difficulté. Lite en vaint à se dire que si elle avait tant besoin de venir parler aux filles de la station, ce n'était peut être pas seulement pour les aider, mais, au fond, pour s'aider elle même. Quoiqu'il en fut, elle était toujours heureuse de rencontrer quelqu'un, et l'impression positive qu'elle avait devant cette femme la rendit heureuse.
"Et si nous voyions plus tard pour la chambre? Ainsi vous aurez le temps de vous reposez.. Naître, se sauver et voyager jusqu'ici n'a pas dû être de tout repos..."
beaucoup de femmes venaient ici pour fuir la guerre, où d'autres pour rejoindre l'offensive, mettant leurs compétences de pilotes au service de la station. Lite ne savait si elle devait demander à la - très - jeune femme ce qui l'ammenait ici, où s'il valait mieux l'emmener à l'interieur, tout en parlant. Elle s'était promis de diriger quiconque arriverait, et elle le ferait. Seulement, son inexistante curiosité la bloquait, parfois. Elle se risqua à une question.
"Vous... Voulez que je vous fasse 'visiter', ou alors... Préférez vous rencontrer une responsable, je veux dire... Si vous êtes venue dans un but spécial. Je suis personnellement venue pour fuir la guerre et... Trouver la paix interieur, au départ, je n'avais pas de fonction precise pour la station..."
Elle se rendit compte qu'à ce rythme, elle aurait tôt fait de raconter sa vie à la jeune androïde. Elle cessa donc et attendit la réponse de la jeune femme. Elle n'avait pas l'âme d'une meuneuse et même si parfois, elle savait proposer des idées aux personnes qui l'accompagnaient, elle préférait toujours laisser le choix où entendre l'avis des autres. C'est un peu ça, aimer les personnes.
"...les sujets de conversations ne sont pas evidents à trouver, lors d'une première rencontre..."
Elle continua sur un ton d'humour et d'autoderision bon enfant, se disant que peut être la jeune femme serait à l'aise avec ce genre de phrases.
"Cela serait plus simple, si j'étais hôtesse d'accueil, mon rôle s'arrêterait à dire 'bonjour, bienvenue, allez au bureau de gauche."
Elle sourit, franchement contente de cette rencontre, à l'évocation d'une situation classique des lieux adinistratifs humains. Cela l'avait toujour splus où moins fait rire, et elle aimait partager les choses drôles qui lui pasaient par la tête.