Merci de m'accueillir

"Je suis heureuse de ne pas être seule, c'est toujours mieux de voir des gens, la dirigeante s'appelle Jessica Himao, je suis heureuse qu'il n'y est que des femmes, sinon, je ne serais pas où je serais aller pour ne plus revoir les hommes"

Asuna suivit Eïkiko à travers le sas vers l'accueil, la voilà arriver dans ce qui allait être sa nouvelle demeure, une station où ne vivent que des femmes libres, Asuna y éspérait y retrouver le bonheur mais elle savait qu'elle ne retrouverais jamais certaines choses qu'elle avait que terre, elle savait bien que Miyuki avait disparu pour toujours sauf dans son esprit qui garderais toujours son empreinte pendant que son coeur en garderais la blessure

"Je serais heureuse que tu me présente des personnes que tu connais, pas forcément toutes mais ça me fera plaisir et pour cette Jone, sue veux-tu dire par les doigts derrière sa cage?"

Asuna continua de suivre la jeune fille avant qu'elle ne se prenne une porte dans la tête et de faire u petit commentaire, Asuna la regarda

"Vous allez bien?"

" Oui, enfin vous savez, les hommes n'ont pas toujours été mauvais. Et même actuellement ils ne le sont pas tous. Certains hommes font partis de la resistance du côté des femmes. Et inversement d'ailleurs. Mais un jour Jone m'a dit " moi si notre pays été en guerre je deserterai, par-ce que si tout les soldats fesaient comme moi personne ne ferait la guerre."
Ca peut sembler peut patriotique j'avoue, mais il ne faut pas lui en vouloir, nous avons été élevées en Europe pendant notre enfance, il paraît que cela fait de nous des peuples prédisposé à ne pas écouter notre gouvernement. Pourtant nous n'habitions pas le même pays. Enfin aujourd'hui nous sommes comme une zone démillitarisé. Je ne comprend pas comment ça se fait que certains endroit fassent la guerre et d'autres non. Je pensais que notre pays serait attaqué qu'il veuille se défendre ou non."

Eïkiko était très bavarde et très sociable. Elle parlait aux gens comme si sa tête n'avait aucune barrière retenant ses pensées.
Ce pouvait être désagréable pour des gens qui n'avaient rien à faire de sa vie.

" Tiens tu peux prendre la chambre 23, la chambre 22 à été prise récement. Seulement tu n'aura pas de colocataire. Mais c'ets pas grave. Moi par exemple je ne dors jamais dans ma chambre. Si tu te sent seule un soir tu peux venir. Je partage ma chambre avec une amie. Nous avosn pris la chambre de Jone par-ce qu'elle ne dort jamais. Ou quand elle le fait en tout cas on ne la vois pas. D'ailleurs en parlant de passer lesdoigts derrière la cage, je voulait dire qu'elle n'est pas très commode.
Souvent je dis qu'elle un peu comme un chien. Vous savez, elle aboie beaucoups! Enfin pas aboyer, quoique des fois elle grogne presque comme un animal! Mais attention ce n'est pas un animal. En fait elle a tendance à être associable. Mais ça ne veut pas dire qu'elle est méchante! C'est un peu comme dans le petit prince, il faut l'apprivoiser! sauf que c'est pas un renard mais un chien! Enfin un humain pardon! "

* ouille ouille ouille!Si elle m'entendait elle crierait surement!!!*

Maintenant qu'elle y pensait, c'était bizarre. C'est vrai que Jone ne dormait pas souvent à l'époque mais maintenant elle ne la voyait plus ni manger ni dormir. L'espace d'un instant elle pensa qu'un robot pouvait être exactement pareille. Mais en même temps quelle idée saugrenue. Quoique cette question lui était venue à cause de cet incident. Megumi lui avait assuré que ce n'était pas de la magie. Mais comment avait-elle fait pour s'en sortir dans ce cas?

* Hum, quoique si j'était une fée je ne voudrais le dire à personne! Je vais quand même en parler à Kakeru!*

Elle se retourna vers la jeune femme.

" Vous êtes venue sans bagages?? Et vous êtes blessée? Si vous voulez je vous montrerez ou est la salle d'entrainement des mecha puisque vous savez piloter. Moi je ne sais pas! Je ne sais même pas conduire une voiture ou une moto! "

"Désolée mais ma haine envers les hommes est maintenant trop lointaine, les hommes, ce sont eux qui ont voulus violer mon amie et comme si ça ne suffisait pas, ce sont eux qui l'ont tuer, je ne seras pas en paix tant que le dernier homme n'aura pas donner son dernier souffle"
Asuna avait des flammes dans les yeux depuis la mort de Miyuki, son désir de vengeance et sa haine avait atteint une limite sans fin, elle voulait torturer les homme comme l'était son coeur, elle avait du mal à contrôler sa haine

"Moi, j'ai fait la guerre, j"ai combattu au front pendant plusieurs mois au front en première ligne, témoignant encore une fois de la violence des femmes, certes, nous avons nous aussi tuer mais les femmes bléssées étaient torturer et violer par les hommes avant qu'ils ne les laissent se vider de leur sang, mourrant parfois pendant les viols, nous, on les tuer tout de site pour éviter qu'ils souffrent, enfin les autres, moi, sachant ce qu'ils faisaient, blesser et à terre, je les frappais jusqu'à qu'ils me supplie de leur pardonner et de les achever, leur peine était pathétique mais j'exauçait leur voeu me restant l'humanité comme sentiment, je suis désolée, je sais ce qu'est l'horreur de la guerre et la violence des hommes, je ne veux plus jamais revoir l'un des deux ou alors, je les détruirais"

Le ton de Asuna se calma à la fin, malgrès ce récit morbide, elle arriva à reprendre une voix normale comme si cette discussion n'avait jamais été évoquée

"Merci pour la chambre, où puis-je avoir ma clé? je viendrais si je me sens trop seule mais j'éspère avoir bientôt une colocataire pour discuter, j'ai quelques bagages mais je les aient laissés dans mon vaisseau, j'irais les chercher plus tard,pour l'instant, je ne garde que mon médaillon et un objet cher à mon coeur"

Asuna regarda vers sa ceinture quand elle dit ça et soule un peu sa robe pour vérifier quelque chose

*Elle est toujours là*

"Je ne suis pas vraiment bléssée, juste une écorchure au bras, je serais ravie de voir cette pièce où on entrepose les vaisseaux, j'adore ne voir d'autre que le mien".

Eïkiko était sous le choc. Elle avait gardé la bouche un peu ouverte. Elle même qui avait plus d'une raison d'en vouloir a l'humanité entière n'avait jamais sentit autant de cruauté et de désir de vengeance en elle. En imaginant les hommes sous sa crosse pendant les combat elle eut un vague hoquet. Elle la regardait étrangement comme si elle venait de lui faire vivre la scène. Elle avait tout vu défilé. Il faut dire qu'Eïkiko était assez sensible et la haine chez les gens lui faisait peur. Elle qui n'en avait jamais eu, comment imaginer ce sentiment autrement que terrifiant.

Cependant, elle ne chercha pas à parler en connaissance de cause et resta sans mots. Elle aurait bien tenté de lui parler, mais à vrai dire, à quoi servait de dire " moi aussi j'ai souffert mais je ne suis pas comme toi"?
Ce n'était pas le concour de celui qui avait le plus de malheur. Et même, cela la gênait déjà d'y repenser, alors le dire ça jamais! Il fallait vite qu'elle chasse ces pensées de sa tête.

" La.. la la clef, est là..."

Elle lui tendit une clef accrochée à un grand panneaux. C'était en fait des pass magnétiques.

" Ec.. excu-se moi, je ne voulait pas te contrarier..."

Elle ne pouvait pas cacher que le ton qu'elle avait prit l'avait impressioné, mais dans le sens de la peur. D'ailleurs, elle lui faisait par sa propre voix ressentir poliment qu'elle avait du mal avec la brutalité même si elle n'était que verbale.

" Excuse, moi, je suis un peu stupide! héhé... enfin excuse ma réaction, bien evidemment je peux comprendre... et eet , même, mê-me si je ne comprenait pas ce ne serait pas mon problème bien évidemment! héhé...
Le le... c'est par làa... Si tu veux...les vaisseaux.. là.. ehéh.."

Elle montrait de son doigt qui s'agitait la direction de la salle d'entrainement des mecha... Elle était éprouvé par-ce qu'elle avait toujours l'impression que c'était sur elle qu'on criait quand les gens s'enervaient. Mais elle gardait tout de même un sourire polie pour ne pas que la personnr crie encore plus. C'est généralement ce qui agaçait les gens qui lui criaient vraiment dessus. Ils avaient l'impression que leurs mots n'avaient pas d'effet sur elle.

Apparemment, le ton qu'avait pris Asuna avait apeurée Eïkiko, après lui avoir montrer le pass électronique pour sa chambre,la jeune fille devant Asuna s'excusa

"Non, c'est à moi de m'excuser, je me suis laisser emporter, d'ailleurs, ça risque peut-être de te surprendre après min discours mais je déteste la violence et ça depuis mon dernier combat dans le guerre, je ne l'aimais pas beaucoup avant mais ma haine prenait le pas sur ce sentiment, merci pour la clef, tu n'as pas à avoir peur de moi, je ne te crie pas-dessus et je ne suis pas du tout en colère contre toi, je me suis juste trop emportée sur mon discours, je suis désolée si je t'ai fait peur"

Asuna regarda où était pointée le doigt vers les vaisseaux et se mit à sourire

"Tu peux m'accompagner ou tu as peut-être des choses à faire et je ne voudrais pas abuser de ta gentillesse".

" Heu, non non tu sais, ici je ne m'occupe de rien. J'étais venu pour ramener quelqu'un à la maison. Une amie à moi. J'ai appris qu'elle était ici. Mais nous ne sommes pas encore partie, par-ce que.. Il y doit y avoir plusieurs raisons. Ici, il y a beau y avoir du monde, malheureusement peut se sentent concernées par les responsabilitées. L'infirmière de la station était une amie à celle que je susi venue chercher. Malheureuse elle est morte. Et en attendant que les problèmes se résorbe elle assure quelques tâches dans la station, pour soulager Mlle Himao qui en va pas très bien et les autres filles qui n'ont pas la tête à .. Enfin tu vois, elles arrivent ici, elles prennent une chambre peuvent manger et dormir gratuitement. Mais ces gens qui préparent leurs repas, et qui entretiennent la station ce sont des gens pas que des machines... Mais la plupart sont tellement traumatisées et choquées que nous ne leurs demandons rien à part prendre soin d'elle... Libres aux filles de s'occuper de quelques chose sur la station. Je me langui de rentrer , même si c'est égoiste. Cette guerre me fait peur. Et même si c'ets pour moi que j'ai peur je l'avoue, j'ai aussi peur que cela tue des gens que j'aprécie. Je ne veux pas me retrouver seule..."

Elle avait dit toute ces choses sur un ton plutôt enjoué et naturel. Comme si ce qu'elle disait n'était pas grave voir même une conversation joyeuse. Mais elle ne savait pas agir autrement. Etre sérieuse elle savait l'être, mais grave surement pas. Elle avait l'air de prendre même les génocides avec volupté, comme si le sang était triviale. Non pas que ce ne lui fasse pas d'éffet bien au contraire. Mais c'était une réaction humaine de sourire et rire quand des sentiments négatifs nous submergeaient.
Sur le chemin elle continuait de balancer ses bras comme une enfant et de décrire certaines décorations qu'elle aimait bien, expliquant où menaient les couloirs et combien de fois elle s'était perdue dans chacun d'eux de même

( je te laisse poster dans la salle d'entrainement...)

» generique (merci coucoucircus)
» Merci pour ce site qui m'a l'air super!